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Critique de IreneAdler
Et nous lie tous, vivants et morts. Nous rend interdépendant : faire du mal à l'un, c'est faire du mal à l'autre. C'est ce que Stewart essaie de faire comprendre à sa demi-soeur, particulièrement obtuse sur cette question, qui est bien loin de ses préoccupations principales : mode et popularité au collège.
Comment en 200 pages aborder tout un tas de questions et de thématiques sans être didactique ou plombante. Deuil, amour, amitié mais aussi prédation sexuelles, acceptation de l'homosexualité... Et de l'importance de regarder autour de soi et de se décentrer de soi pour ne pas se laisser piéger ni par ses désirs ni par la pression sociale.
On peut néanmoins regretter que c'est le personnage féminin qui est complètement frivole et vraiment pas sympa et qui se fait ouvrir les yeux par un personnage masculin. Et que même si les deux évoluent, chacun depuis sa place (Stewart lâche un peu prise et accepte certains événements sans les analyser à outrance), Ashley doit presque repartir de zéro. Et même si leurs évolutions sont positives, celle d'Ashley me semble presque incohérente, vu son état d'esprit au début du roman. Arrive t-elle vraiment à accepter sa "déchéance", sa nouvelle place dans la hiérarchie alors même qu'elle la doit à une très grosse humiliation ?
Comment en 200 pages aborder tout un tas de questions et de thématiques sans être didactique ou plombante. Deuil, amour, amitié mais aussi prédation sexuelles, acceptation de l'homosexualité... Et de l'importance de regarder autour de soi et de se décentrer de soi pour ne pas se laisser piéger ni par ses désirs ni par la pression sociale.
On peut néanmoins regretter que c'est le personnage féminin qui est complètement frivole et vraiment pas sympa et qui se fait ouvrir les yeux par un personnage masculin. Et que même si les deux évoluent, chacun depuis sa place (Stewart lâche un peu prise et accepte certains événements sans les analyser à outrance), Ashley doit presque repartir de zéro. Et même si leurs évolutions sont positives, celle d'Ashley me semble presque incohérente, vu son état d'esprit au début du roman. Arrive t-elle vraiment à accepter sa "déchéance", sa nouvelle place dans la hiérarchie alors même qu'elle la doit à une très grosse humiliation ?
