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Critique de Gangoueus


Revenons à Nimrod. J'ai lu le travail qu'il a produit sur Césaire dans une collection très précise. Et dans un échange avec lui, il m'avait expliqué que ce traitement lui avait été proposé. le cheminement du lecteur que je suis procède par dissociation. Et j'ai rangé L'enfant n'est pas mort dans la catégorie « des commandes ». Peut-être en est-ce une ? Ce qui signifie dans mon inconscient « Texte secondaire de Nimrod, lecture facultative ». le fait particulièrement incongru est qu'à ce jour, je ne sais même pas si c'est une commande, mais ce texte est très loin d'être une oeuvre secondaire… Comme vous le voyez, je traite mes préjugés en ligne.

Hommage à une poétesse sud-africaine Ingrid Jonker

Lors de sa première allocution au parlement sud-africain, après sa libération suite à 27 ans de geôle pour activisme politique, Nelson Mandela déclame devant une assistance médusée des vers de la grande poétesse sud-africaine Ingrid Jonker. Une fabuleuse poésie où Jonker relate une scène terrible, celle de l'assassinat d'un bébé noir dans les bras de sa mère à un check-point, par la police de Cap Town. En 1960. En plein apartheid. Les mots sont forts. La prise de parole lucide et risquée. Elle est afrikaner. L'assemblée à laquelle s'adresse Mandela est principalement composée d'afrikaners. Les mots ont contribué à fortifier – selon Nimrod – Mandela - du temps de son incarcération dans la prise de conscience réelle et complexe qu'ils impliquent.
Lien : http://gangoueus.blogspot.fr..
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