Deux textes courts qu'il faut sans doute lire et relire.
Tout en poésie, l'auteur évoque ses relations avec sa mère et par suite avec son propre enfant.
La mort de sa mère est un terme. Plus rien ne peut se passer. D'une certaine façon, l'auteur s'identifie à sa mère.
Je ne suis pas sûre de bien rendre compte des intentions de l'auteur. C'est pourquoi, cette fois je privilégie les citations, celles qui m'ont plu, celles qui me marquent.
Merci aux Editions
Bruno Doucey que j'aime particulièrement et à Babelio qui m'ont fait découvrir
Ananda Devi.
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