J’ai conscience de te demander l’impossible. Je n’ignore ni l’angoisse, ni la souffrance qu’on peut ressentir quand on attend quelqu’un sans savoir s’il va revenir un jour. Mais je voudrais que toi, au moins, tu sois là pour moi. Je n’ai qu’une hâte, discuter encore de tout et de rien avec toi.
Ce genre d'abnégation, c'est trop pesant pour moi ! Je n'ai pas les épaules pour supporter ça ! Je suis terrifié à l'idée que tu sois blessée par ma faute... Peu importe que tu guérisses ou pas ! Rien que d'y penser, je suis paralysé.