>
Critique de CallieTourneLesPages
Et bien on se prend une bonne dose de violence dès les premières pages. Je ne pensais pas tenir tout le roman. Mais Olivier Norek nous surprend en nous livrant un roman policier au vert loin des grandes villes et de leur violence. Mais ce n'est pas pour autant que l'on s'y ennuie. La campagne ce n'est pas un long fleuve tranquille mais un lac sous lequel reposent une Atlantide aveyronnaise et ses souvenirs, bons et mauvais.
Les deux plongées sont de toute beauté. On se croit sous l'eau avec le plongeur, tout est devenu calme autour de moi. A la fois la respiration en suspens de ce que Hugo allait découvrir mais aussi totalement détendue et apaisée par l'immensité liquide qui prend toute la place dans la narration. Bravo à l'auteur pour ces deux immersions dans le lac.
Revenons en aux personnages, qui comme toujours sont vrais on a l'impression qu'ils pourraient à tout moment sortir du livre et continuer leur vie. L'auteur sait tisser une densité sociale pour chacun d'eux. Car là est le secret d'Olivier Norek créer une atmosphère réaliste sans faux semblant ni aucun fil blanc.
Par contre quel est son problème avec les animaux ? Après le chat ce sont les animaux d'étable qui subissent la fureur de l'homme. Encore un réalisme à toute epreuve dont cette fois je ne demandais pas tant.
C'est au milieu de la nuit que je suis allée au bout de cette cold case ne pouvant plus lâcher le livre après les découvertes d'Hugo et No dans les eaux du lac.
Un bon roman efficace et réaliste.
Les deux plongées sont de toute beauté. On se croit sous l'eau avec le plongeur, tout est devenu calme autour de moi. A la fois la respiration en suspens de ce que Hugo allait découvrir mais aussi totalement détendue et apaisée par l'immensité liquide qui prend toute la place dans la narration. Bravo à l'auteur pour ces deux immersions dans le lac.
Revenons en aux personnages, qui comme toujours sont vrais on a l'impression qu'ils pourraient à tout moment sortir du livre et continuer leur vie. L'auteur sait tisser une densité sociale pour chacun d'eux. Car là est le secret d'Olivier Norek créer une atmosphère réaliste sans faux semblant ni aucun fil blanc.
Par contre quel est son problème avec les animaux ? Après le chat ce sont les animaux d'étable qui subissent la fureur de l'homme. Encore un réalisme à toute epreuve dont cette fois je ne demandais pas tant.
C'est au milieu de la nuit que je suis allée au bout de cette cold case ne pouvant plus lâcher le livre après les découvertes d'Hugo et No dans les eaux du lac.
Un bon roman efficace et réaliste.
