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Critique de Dwalin
Cosmétique : l'ordre de l'univers. Il ne s'agit pas de maquillage ici.
L'ennemi : l'ennemi intérieur, notre subconscient dans son côté sombre. le moi refoulé.
J'en ai vu une adaptation très sympathique au théâtre (par une troupe burkinabée), c'est ce qui m'a donné envie de le lire.
Hall d'aéroport, un homme attend son avion, dont le retard est annoncé. Il lit.
Débarque alors un inconnu qui va engager la conversation, s'imposer malgré lui.
Le dialogue dure tout le livre ; ça se lit très vite. Une centaine de pages écrites gros.
L'importun raconte son histoire qui ne cesse de devenir de plus en plus sordide.
On voit la chute venir assez vite je pense (enfin pas toute la chute y'a plusieurs trucs), mais je n'en dirai pas plus. C'est étrange et fascinant, un peu drôle et un peu effrayant.
L'ennemi : l'ennemi intérieur, notre subconscient dans son côté sombre. le moi refoulé.
J'en ai vu une adaptation très sympathique au théâtre (par une troupe burkinabée), c'est ce qui m'a donné envie de le lire.
Hall d'aéroport, un homme attend son avion, dont le retard est annoncé. Il lit.
Débarque alors un inconnu qui va engager la conversation, s'imposer malgré lui.
Le dialogue dure tout le livre ; ça se lit très vite. Une centaine de pages écrites gros.
L'importun raconte son histoire qui ne cesse de devenir de plus en plus sordide.
On voit la chute venir assez vite je pense (enfin pas toute la chute y'a plusieurs trucs), mais je n'en dirai pas plus. C'est étrange et fascinant, un peu drôle et un peu effrayant.
