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Critique de LudovicDesvaux
Nom de nom...
La longueur n'est certes pas gage de qualité ; mais quand on fait court, il faut tout donner. Et dans ce récit qui s'apparente plus à une nouvelle qu'à un roman, il y a lieu de s'interroger sur les moyens déployés. Compte tenu de la productivité de l'auteure qui est d'un ouvrage par an, force est de reconnaître qu'elle nous a habitués à une originalité plus dense qui rend d'habitude la narration plus éblouissante. Sans surprise, le style inimitable d'Amélie Nothomb imprègne l'histoire qui, avec ses protagonistes hauts en couleur, n'est évidemment pas déplaisante à lire, loin de là. Seulement l'intrigue prend du temps à démarrer or la décision a déjà été prise unilatéralement par celle qui est derrière la plume, on n'en a pas...
La fin du scénario et l'heure du verdict arrivent donc simultanément. "TGV", comme écrivaient certains professeurs dans la marge de devoirs qui leur semblaient un peu bâclés, ou disons plus politiquement, trop concis. Comme d'habitude, on peut saluer la fantaisie de l'écrivaine, mais pas son inspiration.
Non et non.
La longueur n'est certes pas gage de qualité ; mais quand on fait court, il faut tout donner. Et dans ce récit qui s'apparente plus à une nouvelle qu'à un roman, il y a lieu de s'interroger sur les moyens déployés. Compte tenu de la productivité de l'auteure qui est d'un ouvrage par an, force est de reconnaître qu'elle nous a habitués à une originalité plus dense qui rend d'habitude la narration plus éblouissante. Sans surprise, le style inimitable d'Amélie Nothomb imprègne l'histoire qui, avec ses protagonistes hauts en couleur, n'est évidemment pas déplaisante à lire, loin de là. Seulement l'intrigue prend du temps à démarrer or la décision a déjà été prise unilatéralement par celle qui est derrière la plume, on n'en a pas...
La fin du scénario et l'heure du verdict arrivent donc simultanément. "TGV", comme écrivaient certains professeurs dans la marge de devoirs qui leur semblaient un peu bâclés, ou disons plus politiquement, trop concis. Comme d'habitude, on peut saluer la fantaisie de l'écrivaine, mais pas son inspiration.
Non et non.
