Un Spartan maniant un couteau était généralement synonyme d’un carnage prochain.
- Les rats quittent le navire ?
- Ce sont jute des hommes qui veulent vivre, mon Amiral.
Un Spartan sans arme ne le reste jamais longtemps…
Il pourrait y avoir des complications associées à l’utilisation de la copie d’une copie.
- Une dernière chose.
- Mon Amiral ?
- Étripez-les tous !
Si on vous lâche un jour en Enfer, autant le faire avec de bons renseignements.
- Vous en pensez quoi, Sergent ? Murmura-t-il en lançant un regard furtif vers Polaski. Je veux dire à son sujet ? C’est vrai qu’il existe cette rivalité opposant les Marines à la Navy, mais je peux l’oublier. Vous pensez qu’il existe une chance entre elle et moi ? Je veux dire pour que…
- Je dirais que tu as autant de chances de sortir avec elle que de sortir dans l’espace pour rejoindre Reach à pied, lui dit le Sergent. Et tout ça en slibard.
- Nom d’Elisa !
- « Nom d’Elisa » ?
- La sainte patronne du vide spatial. Elle est très populaire chez les pilotes civils.
Cette bravoure était typique chez les Élites : ils devaient être le premiers au combat… même si cela signifiait la mort pour le seul mérite de cet honneur guerrier.
- Vous connaissez l’histoire de l’Alamo, Master Chief ?
- Oui, mon Amiral. Un célèbre siège ayant opposé une poignée de défenseur contre des forces redoutables.
- C’étaient des Texans, ces défenseurs, Master Chief… ce qui fait une grosse différence. Le Colonel William Barret Travis et cent cinquante-cinq hommes ont tenu à distance deux mille envahisseurs mexicains. Ils s’étaient repliés dans un fort et se sont battus comme des lions. Travis obtint par la suite un renfort de troupes, trente-deux hommes. Vous savez qu’il y avait également quinze civiles dans ce fort ? Et bien, quand le combat a pris fin, Travis et tous ses hommes morts, les Mexicains avaient perdus six cent hommes.
- Comme la bataille des Thermopyles.
- Mais il y a eu des survivants à la Alamo ; ils épargnèrent les civils.