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Critique de talou61


La jugulaire,

J'ai relevé ce roman dans une liste dédiée à la vie d'étudiante sur Babelio.

J'aurais dû l'éviter…

Gillian Bauer, en 2001 au Louvre, découvre une statue qui lui rappelle ses années d'université et son professeur de littérature André Harrow !

Elle nous révèle ses souvenirs sous la forme d'un journal intime, très intime…

Dans ces années 1975, aux Etats-Unis, tout est perversité dans cette université.!

J'ai tout de suite deviné la chute du livre, assez attendue.

Je n'ai pas aimé le style de cette autrice, sec, embrouillé (dans une même phrase, elle écrit Je puis Gillian), répétitif. Il se complait dans les descriptions des paysages, des costumes et fuit les descriptions des sentiments (don't tell, show !)

Je ne me suis pas attachée aux personnages, Gillian tout d'abord, assez ambivalente dans ses désirs. Les autres étudiantes sont à peine effleurées et on ne connait pas la raison des tentatives de suicide, les disparitions…

D'ailleurs, elles ne font que peu de confidences entre elles, préférant les jeter sur leur journal intime, "commandé" par leur professeur de littérature !

Ce dernier, André Harrow et son épouse Dorcas, sont particulièrement détestables et pervers ! Bien fait pour eux !

Un monde petit bourgeois, rempli de drogues, d'alcool qui ne m'a pas rappelé mes propres souvenirs en 1975...

Bref, une lecture laborieuse sans intérêt.
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