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Critique de Alfaric
Décidément, il est très sympa cet "Arc Skypéia"... J'ai bien fait d'écouter ceux qui n'ont conseillé de m'accrocher parce que la série se bonifiait au bout de XX tomes : j'ai le sentiment qu'Eiichirô Oda joue de mieux en mieux à Tétris en agençant les pièces de son histoire ! (encore que dans ce tome, le niveau de difficulté augmente et il commet plus de fautes ^^)
Dans ce tome 31, intitulé "Je suis là", nous assistons à un long flashback consacré à l'histoire d'amitié entre l'explorateur Monblanc Norland et le guerrier Calgara qui occupe bien 2/3 du tome… On est dans la version cartoonesque d'un vieux film d'aventure hollywoodien, ou le détournement d'un épisode de la saga "Winnetou" où un Blanc et un Amérindien sont amis pour la vie (le côté amérindien, des civilisations d'Amérique Centrale aux alliances tribales d'Amérique du Nord est très agréable dans cet arc). Au final, la catastrophe qui projette la moitié de Jaya dans le ciel sépare définitivement les deux amis et alors que Monblanc Norland est condamné à mort par les siens, Calgara fait le serment que la cloche d'or de Shandora permettra de guider vers le ciel son frère d'armes quand celui-ci reviendra…
Je vois bien où veut en venir le mangaka et j'aime ça : au-delà de la sauvegarde de Skypéia, nos héros vont devoir relier les générations pour sauver à la fois le passé, le présent et l'avenir. Les thématiques humanistes c'est toujours à la fois très cool et très émouvant… (n'en déplaisent aux aficionados d'autofictions nombrilistes qui se piquent de délivrer de grandes révélations métaphysiques)
Retour au présent donc : Ener s'amuse à détruire Skypéia, et Luffy tente coûte que coûte de rejoindre l'Arche Maxim. Il est d'ailleurs à un cheveu de réussi avant de devoir repartir de zéro… Il lui reste désormais une seule et unique chance de se confronter à l'homme qui se prend pour un dieu avant l'apocalypse qu'il programmé pour accompagner son triomphe !
Dans ce tome 31, intitulé "Je suis là", nous assistons à un long flashback consacré à l'histoire d'amitié entre l'explorateur Monblanc Norland et le guerrier Calgara qui occupe bien 2/3 du tome… On est dans la version cartoonesque d'un vieux film d'aventure hollywoodien, ou le détournement d'un épisode de la saga "Winnetou" où un Blanc et un Amérindien sont amis pour la vie (le côté amérindien, des civilisations d'Amérique Centrale aux alliances tribales d'Amérique du Nord est très agréable dans cet arc). Au final, la catastrophe qui projette la moitié de Jaya dans le ciel sépare définitivement les deux amis et alors que Monblanc Norland est condamné à mort par les siens, Calgara fait le serment que la cloche d'or de Shandora permettra de guider vers le ciel son frère d'armes quand celui-ci reviendra…
Je vois bien où veut en venir le mangaka et j'aime ça : au-delà de la sauvegarde de Skypéia, nos héros vont devoir relier les générations pour sauver à la fois le passé, le présent et l'avenir. Les thématiques humanistes c'est toujours à la fois très cool et très émouvant… (n'en déplaisent aux aficionados d'autofictions nombrilistes qui se piquent de délivrer de grandes révélations métaphysiques)
Retour au présent donc : Ener s'amuse à détruire Skypéia, et Luffy tente coûte que coûte de rejoindre l'Arche Maxim. Il est d'ailleurs à un cheveu de réussi avant de devoir repartir de zéro… Il lui reste désormais une seule et unique chance de se confronter à l'homme qui se prend pour un dieu avant l'apocalypse qu'il programmé pour accompagner son triomphe !
