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Critique de BenjaminDP
Une parfaite chambre de malade suivi de la désagrégation du papillon de Yôko Ogawa sont deux nouvelles traitant de la maladie. L'une, physique, s'attaque à un jeune homme de vingt et un ans et nous est raconté par la soeur du garçon ; tandis que l'autre, mentale, s'en prend à une dame âgée et la narratrice en est la petite-fille, une jeune-femme aujourd'hui adulte qui a été élevée par cette grand-mère d'apparence sévère.
La première histoire nous fait prendre conscience de l'importance du corps, la seconde de celle de l'esprit et les deux nous parlent ainsi, de l'incidence que peut avoir le déclin de l'un ou de l'autre du point de vue de l'entourage. Les descriptions sont comme toujours très détaillées chez Ogawa et donnent de la réalité et de la profondeur aux deux récits. Pourtant narrées sans pathos, les intrigues sont étonnamment riches en émotion et pas seulement de par le sujet qu'elles abordent.
Lien : http://150mots.blogspot.fr/2..
La première histoire nous fait prendre conscience de l'importance du corps, la seconde de celle de l'esprit et les deux nous parlent ainsi, de l'incidence que peut avoir le déclin de l'un ou de l'autre du point de vue de l'entourage. Les descriptions sont comme toujours très détaillées chez Ogawa et donnent de la réalité et de la profondeur aux deux récits. Pourtant narrées sans pathos, les intrigues sont étonnamment riches en émotion et pas seulement de par le sujet qu'elles abordent.
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