- C'est à cause de toi. C'est parce que t'es là ! Si je me suis mis à vouloir vivre en espérant devenir heureux, c'est à cause de toi !
- Tant mieux si c'est à cause de moi.
- Laisse-moi ici. Je vais dormir... Qu'est-ce que tu fais ?
- Je dors aussi.
- Pourquoi ?
- J'en sais rien, ça me soûle d'y penser. Et toi ?
À chaque fois, c’est comme si je me voyais depuis l’extérieur … ce pauvre enfant, je le regarde.