>
Critique de XanderOne
Je n'avais pas encore eu l'occasion de lire No Control, qui était sorti il y a quelques années, en deux tomes. Mais par chance, les éditions Delcourt/Tonkam ont eu l'excellente idée d'éditer pour la premiere fois le manga Elfen Lied, et en on profité pour réédité en une seule intégrale le manga No Control.
Je ne connais pas du tout le mangaka qui est derrière No Control, Elfen Lied ou encore Brynhildr in the Darkness qui s'est achevé récemment, c'est donc de la totale découverte. La seule chose que je connaissais était la version animé de Elfen Lied, que j'avais adoré.
Dans No Control, nous ne somme pas dans un récit de science fiction, mais plutôt dans une sorte de comédie romantique, assez barré il faut bien le reconnaître, mais qui se laisse lire avec beaucoup de plaisir.
En effet, le principe va conduire les deux protagonistes, Subaru et Saito à se retrouver en internat après des années de séparation. Mais leur différence de classe sociale les a un peu éloignés, et va conduire Saito, dégouté d'avoir été snobé par Subaru alors qu'il a fait beaucoup d'effort pour obtenir une bourse et rejoindre le pensionnat, de recourir à un voeu magique, qui va lui donner accès à la chambre de Subaru, en passant par son placard. Mais comme tout voeu, il y aura une contrepartie, et cette dernière sera qu'une heure par jour, il s'emparera du self-control de son amie, ce qui la conduira à laisser libre court à ses instincts…
Le titre est donc plutot drôle, et parfois osé (d'ailleurs il est pour lecteur averti) et j'ai trouvé ça assez amusant. Cela m'avait un peu penser au début de Nozokiana (pour le coté voisin de chambrée). Il faudra toutefois ne pas trop prendre le titre au sérieux, et faire fi de sa bonne morale, pour pleinement l'apprécier.
Pour cette premier lecture d'un manga de Lynn Okamoto, j'ai passé un très bon moment ! Prochaine étape, Elfen Lied !
Je ne connais pas du tout le mangaka qui est derrière No Control, Elfen Lied ou encore Brynhildr in the Darkness qui s'est achevé récemment, c'est donc de la totale découverte. La seule chose que je connaissais était la version animé de Elfen Lied, que j'avais adoré.
Dans No Control, nous ne somme pas dans un récit de science fiction, mais plutôt dans une sorte de comédie romantique, assez barré il faut bien le reconnaître, mais qui se laisse lire avec beaucoup de plaisir.
En effet, le principe va conduire les deux protagonistes, Subaru et Saito à se retrouver en internat après des années de séparation. Mais leur différence de classe sociale les a un peu éloignés, et va conduire Saito, dégouté d'avoir été snobé par Subaru alors qu'il a fait beaucoup d'effort pour obtenir une bourse et rejoindre le pensionnat, de recourir à un voeu magique, qui va lui donner accès à la chambre de Subaru, en passant par son placard. Mais comme tout voeu, il y aura une contrepartie, et cette dernière sera qu'une heure par jour, il s'emparera du self-control de son amie, ce qui la conduira à laisser libre court à ses instincts…
Le titre est donc plutot drôle, et parfois osé (d'ailleurs il est pour lecteur averti) et j'ai trouvé ça assez amusant. Cela m'avait un peu penser au début de Nozokiana (pour le coté voisin de chambrée). Il faudra toutefois ne pas trop prendre le titre au sérieux, et faire fi de sa bonne morale, pour pleinement l'apprécier.
Pour cette premier lecture d'un manga de Lynn Okamoto, j'ai passé un très bon moment ! Prochaine étape, Elfen Lied !
