[...]
Nnedi Okorafor plonge le lecteur dans une Afrique parallèle, quelque part entre la sorcellerie des traditions, celle dont on se sert pour ensorceler les vivants et les objets du quotidien (le « juju ») et la science-fiction, monde angoissant et inquiétant, ses propres lois et cet oeil scrutateur et menaçant venu du futur, du monde de la mort. L'auteure se place du point de vue des opprimés[...]
Critique complète sur : https://poussedeginkgo.wordpress.com/2019/05/10/
qui-a-peur-de-la-mort/
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