C'est le troisième roman de sa plume que je découvre et à nouveau j'ai été subjuguée par sa poésie.
On retrouve toujours ce style très particulier, ce roman à la première personne, ce flot de paroles et de pensées en continu qui donnent parfois l'impression que l'histoire n'a ni queue ni tête. Qu'il se passe tout et rien à la fois.
Mais il y a une certaine vulnérabilité qui se dégage de ce roman qui est très touchante, presque fascinante. La narratrice, Dyja, mêle récit du quotidien et réflexions sur les écrits de sa grande tante, une femme fantasque qui a passé sa vie à s'interroger sur les mystères de la vie. Et au milieu de tout ça : la lumière, les ténèbres, et tout ce qui se trouve entre deux.
Si vous n'avez jamais lu Audur, je vous conseille de commencer par
Rosa Candida car celui-ci n'est peut-être pas le plus accessible. Mais si vous connaissez l'autrice, alors foncez !
Commenter  J’apprécie         70