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Critique de tchouk-tchouk-nougat


1973 à Philadelphie, un professeur de musique n'en reviens pas en écoutant une jeune femme jouer du violon. Cela lui rappelle une vieille histoire qui date du règne de Louis XIV. Celle d'un stradivarius et de la mélodie d'une jeune tsigane.

Ce tome 7 de la série Art du crime porte donc sur le 4e art : La musique. Et pour cela nous est conté une jolie histoire d'amour : amour entre deux jeunes gens malgré leur différence de caste sociale, amour de la musique et d'un violon en particulier. Pas n'importe quel violon, un célèbre Stradivarius. A cette époque on est capable de tuer pour obtenir le privilège de jouer de ce noble instrument.
Le dessin est une ligne claire et classique, simple mais efficace.
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