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Dans ce tome 5, les super-héros affrontent le terrifiant roi des océans… Derrière la grosse déconne complètement assumée, le message qui est délivré est on ne peut plus sérieux : qui que nous soyons, à un moment ou à un autre nous avons tous la capacité d’être des héros, et la somme de nos actions aussi modestes soient-elles peut nous permettre de changer le monde….
Stinger et Eclairomax (Classe A) sont terrassés, Pri-Pri-Prisonnier (Classe S) est obligé de boire le calice de la défaite jusqu’à la lie, et Sonic de le Foudroyant qui compte parmi le crème des supervilains doit lui aussi battre en retraite… Gominator (Classe C), Jet Nice Guy (Classe B), Boumboum-man (Classe C) et Vipère au poing (Classe A) se dressent entre le monstre et la population en pure perte… Génos (Classe S), puis Roulette Rider (Classe C) défendent la veuve et l’orphelin au péril de leur vie car ils croient en force de l’espoir et de l’amitié… C’est à ce moment que Saitama débarque pour vaincre le supervilain en un seul coup !!!
Evidemment, c’est à ce moment que les bobos hipsters sortent de leur trou pour jouer les tristes pragmatiques qui crachent sur tout ce qui bouge mais qui ne proposent aucune alternative à part le TINA : le monde est pourri, il en a toujours été ainsi, donc priorité à la compétitivité et à la rentabilité, autrement dit à la loi de la jungle et au chacun pour soi… Le Japon qui autrefois était le modèle à suivre a adopté les principes néolibéraux et néoconservateurs des Chicago Boys et depuis c’est la crise : les déficits et la dette s’envolent, les inégalités explosent et la pauvreté ne cesse d’augmenter… Oui mais non, les politiciens, les financiers et les économistes continuent de psalmodier que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et que ceux qui ne sont pas contents n’ont qu’aller faire un tour en Corée du Nord…
ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE ! NE VOUS EN DÉPLAISE, L’HUMANITE VAUT MIEUX QUE CELA !!!

Alors que Saitama change de classe, l’épilogue prépare l’arc suivant et dans le récit bonus notre héros prend la relève de Pad-Man et Bretelles Macabres pour terrasser le gang du criminel de Rang A Bouffalo… Les véritables héros ne s’encombrent pas de problèmes d’argent, car l’argent ils n’en ont rien à foutre !!!
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Dans mon avis sur le tome 4, je m'étais promis à moi-même de ne plus laisser passer autant de temps entre 2 tomes. Et puis finalement, comme je suis incorrigible, je me suis encore dispersée et plus de 3 mois se sont écoulés. Pourtant je me régale à chaque fois et ce 5ème volet ne fait pas exception.

Dans ce tome bourré d'action, on retrouve Saitama plus héroïque que jamais. Mais héroïque au vrai sens du terme. Saitama se comporte en héros gratuitement, sans attendre de contrepartie financière ni en terme de notoriété (tout comme Genos d'ailleurs qui se montre décidément plus humain que la plupart des autres personnages).
Le comportement noble de Saitama se heurte au cynisme ambiant. S'il a pu battre un monstre si puissant, c'est qu'il a triché se disent les gens, projetant ainsi leurs propres travers et leur propre médiocrité sur Saitama.
A la fin du tome, Saitama progresse dans le classement et on sent déjà qu'il va se heurter à l'esprit de compétition des autres super-héros.

Voilà donc encore un excellent tome, drôle, haletant, intelligent et qui promet un 6ème tome passionnant.
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Le tome précédent nous avait laissé en suspens avec le terrible et l'invaincu le roi des profondeurs. Pri-pri Prisonnier et Sonic s'étaient enfuis de prison pour lui botter l'arrière train. le petit gars venu des fonds des mers est puissant. Une occasion pour Yosuke Murata de mettre en exergue son sens de l'exagération et de l'absurde. Les gars sont musclés à l'extrême, il y a de quoi rendre jaloux les fans de culturisme. Schwarzy jeune va pouvoir se rhabiller. Malgré tout ça, la force n'est pas au rendez-vous. Genos le cyborg se fera une nouvelle fois démembrer en un rien de temps. Les minots se succèdent et prennent une branlé royale. Sauf Sonic qui était parti chercher ces armes. Pas de bol, quand il revient le combat est terminé. Zut, zut! Sans surprise Saitama débarque et en un coup de poing tout est fini. La population ne comprend pas ce qu'elle vient de voir. Est-ce que cela signifie que tous les autres héros sont des nazes? Ils ne servent à rien si un seul coup de poing suffisait. Saitama accepte d'être détesté par la population pour ne pas nuire à l'image de ces compatriotes. Quelle bonté d'âme. Par chance, son combat lui permet de monter en catégorie bien que le doute sur le fait qu'il soit un imposteur subsiste. Un anti-héros mal-aimé, non reconnu, non légitime tel que l'on a déjà vu auparavant. N'oublions pas que c'est une forme de pastiche qui n'oublie jamais de faire des clins d'oeil à la culture populaire. Même si le manga se lit assez bien on a une impression de déjà vu dans les tomes précédents. Et pourtant nous ne sommes qu'au tome 5. Va t'il y avoir un élément qui dynamise tout ça? On l'espère fortement.
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Ce tome-ci est juste fort en émotion dans tous les sens du terme. Nous aurons le droit à des combats sensationnels avec Génos et les autres héros qui feront preuve d'un courage exceptionnel. Nous voyons ainsi la force de caractère de chacun et le désir de faire le bien.

Nous retrouvons Sonic et Pri-pri prisonnier nous offrir un avant-gout de la force du roi des mers. Personne ne semble capable de le vaincre alors qu'il s'attaque aux civiles. Génos nous offre un remarquable combat. Comme toujours, il se donne à fond et risque sa vie, prêt à se sacrifier pour les autres. Sa force n'est plus à démontrer, mais le Roi des mers est loin de se laisser faire. Saitama viendra à nouveau sauver la situation alors que le désespoir se fait de plus en plus grand, mais à nouveau personne ne le reconnaît comme héros.

Il y a nombre de scènes touchantes où Saitama s'impose par sa force de caractère avec son fan invétéré en la présence de Génos, toujours là pour le soutenir.

J'ai véritablement adoré ce tome, car tout s'y mêle : sentiments, force, puissance dans les mots et les dessins. J'ai passé de super moments aux côtés de nos protagonistes. de plus, dans ce tome-ci, on a à nouveau le droit à une petite histoire bonus, que du bonheur !!!!

Je recommande assurément !!!!!

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Le Roi des Profondeurs donne du fil à retordre aux héros, qui se font tous rétamer les uns après les autres, d'autant plus que la pluie améliore les capacités du monstre. Il faudra l'intervention in extremis de Saitama pour régler la situation. Même si son exploit est une fois de plus dénigré par la foule (qui, entre nous soit dit, n'a pas bougé le moindre petit doigt pour se sauver elle-même), Saitama passe en classe B grâce à l'intervention de l'Association. Mais cette évolution ne règle pas ses problèmes d'argent... car les héros aussi doivent bouffer... Toujours beaucoup de second degré dans ce tome et des scènes de bagarre prenantes grâce aux dessins flous qui donnent du relief.
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Résumé : le roi des monstres marins a décidé d'envahir la terre et d'y régner. Différents héros s'opposent à lui, mais beaucoup rencontrent des difficultés. Saitama pourra-t-il intervenir et sera-t-il à la hauteur ?

Mon avis : de bonnes scènes de combats, entremêlées de scènes rigolotes et décalées.

Saitama comprend qu'être un héros ne fait pas tout, qu'il peut être l'objet de jalousie de la part des autres héros, et que les habitants de la ville pourraient bien ne pas le remercier de ce qu'il fait… Entre désinvolture et envie de réussir, il poursuit son chemin.

Petite note rigolote, le rabat de la couverture à la fin du tome, comme dans les autres tomes, permet de mettre en avant un détail inédit qui redonne un tout autre sens à la scène que l'on imaginait au préalable sur la couverture.
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[Chronique commune aux tomes 5 et 6]

Bon, allez, il est bien temps d'arrêter les frais… Dans ma dernière chronique de One-Punch Man, qui portait sur les tomes 3 et 4, j'avais été suffisamment convaincu par l'humour délirant du tome 3 pour envisager de jeter un oeil sur la suite, là, comme ça, en passant… Ce que j'ai fait, donc, avec ces tomes 5 et 6… qui sont hélas parfaitement dans la lignée du tome 4, lequel m'avait beaucoup déçu.



À mes yeux d'ignare en shônen, le grand atout de la série était clairement son humour, son goût pour la parodie autant que pour l'absurde. C'est semble-t-il bel et bien ce qui a fait le succès du manga originel de One sur le ouèbe, et qui a permis à la série de se développer dans cette version papier adaptée par Murata Yusuke ainsi que dans une version animée qui a semble-t-il beaucoup plu (je n'y connais rien). À maints égards, One-Punch Man est un shônen avec plein de baston, mais qui en rigole et fait mumuse avec les codes du genre.



Ou du moins est-ce la théorie… Car, à ce stade du manga papier, cela fait trois tomes que l'humour est presque totalement aux abonnés absents, et que l'accent est uniquement mis sur la baston, la baston, la baston. Les spécialistes vous diront que, même dans ces épisodes, One-Punch Man casse quelques codes du nekketsu, et c'est bien possible, mais, pour un lecteur lambda ou moins que ça dans mon genre, c'est une dimension totalement hermétique, et ne demeure que la baston, la baston, la baston. On pourrait assez légitimement en conclure que One-Punch Man est devenu ce dont il se moquait.



Je ne connais à peu près rien au shônen, ou au nekketsu. Aussi mes références en la matière sont-elles très aléatoires… Mais, à la lecture de ces tomes, j'ai eu un peu le sentiment très navrant que j'avais ressenti, gamin, quand je regardais Dragon Ball au Club Dorothée truc. Dragon Ball, c'était cool : frais, drôle, de bons personnages… Déjà, à l'époque, mon intérêt pour la série avait diminué dans les pénibles séquences de tournoi semble-t-il typiques du nekketsu, avec la montée en puissance des adversaires ; mais, globalement, OK. Puis il y a eu ce moment bizarre où Dragon Ball est devenu Dragon Ball Z… et où je me suis mis à détester ce que j'avais adoré. L'humour n'était plus de mise, chaque épisode se focalisait sur la baston, ou peut-être autant et même davantage sur les poses badass des héros et des vilains, portés à avoir les dents qui grinçaient et la goutte au front – entre le résumé des épisodes précédents et le teaser de la suite, on n'avait pas grand-chose d'autre. le trait qui demeurait, c'était le plus mécanique : la montée en puissance, toujours davantage, et le défi héroïque.



J'ai toujours trouvé ça chiant à mourir, et n'ai visiblement pas changé à cet égard. Ces tomes 5 et 6 de One-Punch Man en témoignent : au Roi des Profondeurs, qui constitue l'antagoniste dans la quasi-totalité du tome 5 (après avoir déjà bouffé de la place dans le tome 4), et qui était tellement plus balaise que tous ses prédécesseurs, succède un nouvel ennemi, ou plutôt un petit groupe d'ennemis, extraterrestre, qui latte tout le monde (dont l'intégralité du casting de la « classe S » des héros, les « meilleurs des meilleurs »), sauf Saitama, dans le tome 6 – sur presque toute sa durée là encore. Un schéma typique se répète, avec tous les héros censément super-badass (malgré leur nom ridicule, le cas échéant) qui se font tous latter la tranche, tandis que cette buse de Saitama progresse tranquillou (en sachant que le principe même de la BD implique qu'il triomphe des adversaires les plus redoutables avec un unique coup de poing, ce qui devrait pourtant contredire la mécanique même de la montée en puissance) – tandis que son « disciple » Genos nous commente l'action en voix off. Ad nauseam.



Ce schéma se répercute aussi dans le soupçon (infinitésimal) de dimension drama de la série : inévitablement, Saitama sauve tout le monde, mais on ne le prend jamais au sérieux – contrairement aux autres héros, si classe, il est considéré par la population civile comme un imposteur, au mieux, éventuellement une menace. C'est systématique. Problème : Saitama lattant du monstre, en dépit des apparences, ce n'est pas du comic de super-héros façons disons Marvel – dans son principe même, il ne peut pas être un Spider-Man ou un X-Man ; dans ces comics, il faut que le lecteur s'intéresse au moins dans une égale mesure à, mettons, Spider-Man, et à Peter Parker – c'est bien pourquoi l'action, essentielle, ne bouffe en principe pas l'intégralité des épisodes. C'est sans doute inenvisageable avec Saitama, dont l'essence est d'être une caricature passablement ridicule et superficielle, y compris au plan graphique (même si, à l'occasion, la BD louche ostensiblement sur le drama « pédagogique », dans les épisodes bonus notamment – ici, c'est flagrant dans celui du tome 6, qui porte sur le suicide et est bien lourdingue). Que Saitama ne puisse pas véritablement jouer ce rôle, de ma part, n'a rien d'un reproche, c'est un constat : ça n'est tout simplement pas le propos de la série.



Non, One-Punch Man, son rayon, son prétexte, son propos, ça devrait être l'humour, la parodie, la débilité, l'absurdité… C'était ce qui faisait la réussite des meilleurs épisodes antérieurs. Mais, à moins d'être en mesure de se satisfaire d'une unique réplique idiote çà et là, noyée dans soixante pages de poses badass, de grincements de dents et de baston toujours plus plus… Non, tout cela n'a absolument plus rien de drôle. Et le sentiment se renforce sans cesse de ce que One-Punch Man est devenu ce dont il se moquait, en remisant de côté ses singularités initiales au profit (si j'ose dire) d'un récit devenu parfaitement mécanique et sans âme.



Notez, même si ce n'est de toute évidence pas ma came, et que je dois me résoudre à arrêter les frais, je ne prétends pas « objectivement » que One-Punch Man est une mauvaise série – elle a ses fans, nombreux, qui s'y connaissent probablement bien davantage que moi en la matière (euphémisme). C'est surtout que nous n'avons pas les mêmes critères, je suppose… Et, par ailleurs, j'admets volontiers que le dessin de Murata Yusuke est très bon – spectaculaire, dynamique, lisible… Irréprochable à vrai dire – bon, en mettant comme d'hab' de côté la question du floutage un peu trop récurrent… Oui, c'est du très bon boulot ; mais, en ce qui me concerne, cela ne suffit pas.



Il est bien temps d'arrêter les frais – j'ai d'autres choses à lire, qui me parleront davantage, et sans peine.
Lien : http://nebalestuncon.over-bl..
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Extrait :
Un nouveau super-héros, assez particulier, fait son apparition, j'aime assez bien son design, pour ce qui est de son caractère, j'en reparlerais plus loin. Saitama continue son chemin en tant que super-héros, mais comme il se fiche d'être apprécié (une vibe Endeavor ?), il n'hésite pas à raconter n'importe quoi, juste pour ne pas pénaliser les autres super-héros qui se font littéralement cracher sur la gueule.

On peut dire ce que l'on veut, mais la population dans cette série, c'est le super-vilain ultime, tu les sauves, ils ne sont pas content car ta détruit leur baraque, tu échoues, ils te traitent de nouille et ne souhaite plus te payer… Déjà que l'association des super-héros fonctionne via les dons (fallait le savoir), cela aurait pu grandement fragiliser celle-ci, et d'ailleurs, ça veut dire que son fonctionnement reste fragile. À savoir que l'association compte sans doute aussi des fonctionnaires, qui ne sont pas héros, mais qui doivent être aussi rémunérés via les dons. Je suis bien d'accord, pour le coup, que la majorité des super-héros n'ont pas l'air bien utile, puisque c'est Saitama qui règle tout à chaque fois. Cela vaut aussi pour les rangs S, qui n'ont pas toujours quelque chose de grandiose non plus. D'ailleurs, le fait que Saitama réussisse là où des rangs S échouent donne l'impression à la population qu'il triche ou autre, à aucun moment ils se disent : « l'évaluation de l'association est vraiment merdique, il est plus fort que les rangs S ». Qu'elle bande d'ingrats… la plupart seraient déjà mort sans lui.

Outre le design du nouveau personnage, qui est assez marquant en soi, mais ils ont tous un design un peu spécial, ce qui diminue son impact. C'est surtout son caractère et ses penchants qui le démarqueront des autres. Déjà, il est le dernier, 17e, de la classe S, il vient donc tout juste de se faire doubler par Genos. Et pourtant, la différence entre les deux est immense quand on compare leur combat avec ce même ennemi. Pri-Pri prisonnier (c'est le nom qu'il a), se fait battre assez rapidement, ses coups n'ayant jamais fait de vrais dégâts. Là où Genos arrive à tenir plus longtemps et à esquiver, alors même que l'ennemi est devenu plus puissant grâce à la pluie. Que fait un super-héros en prison ? Eh bien, il apprécie beaucoup les beaux garçons… et en fait la collection, du coup, il a été emprisonné. Il reste sagement en prison, sauf quand un beau gosse se fait battre, là il sort de la prison, ainsi que ses griffes. Il a, semble-t-il, un sixième sens, puisqu'il devine que l'ennemi est puissant, mais on pourrait aussi dire que c'est logique après avoir éliminé deux super-héros, dont un de rang A.

[...]
Lien : https://sunread26.wordpress...
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J'étais hésitante à continuer car il faut bien l'avouer l'histoire est au ras des pâquerette, mais il y a un mélange action / humour qui fonctionne très bien, des personnages déjantés, et les graphismes sont hypers percutants.
Finalement ça se lit tout seul et je suis plus accrochée que je voudrais l'admettre.
Dans ce tome 5 nos héros affrontent le roi des profondeurs, mais Saitama malgré sa puissance à bien du mal à être crédible auprès du grand public, le pauvre.
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Dans ce tome, ça pue la marée. le monstre issu des profondeurs a une sacrée poigne. Les héros se bousculent pour lui barrer la route.
Se présentent alors des questionnements sur l'association des héros et le classement mis en place.
On notera qu'il y a de plus en plus de combats à poils. Y a-t-il quelque chose à comprendre???
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