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Critique de jefdebourges


Décidemment le Michel Onfray d'aujourd'hui (à la revue Front populaire) n'est plus celui d'hier (à l'université populaire de Caen)

Cette lecture était clairement du temps perdu mais comme il écrit désormais comme il parle (ce qu'il reproche aux autres) avec des références tellement triviales (pas besoin de faire de recherche en parallèle), le supplice a été de courte durée.

Ce titre est en fait une simple commentaire de texte de "1984" (paru 1949) et de "La ferme des animaux" (paru 1945).
Enfin, commentaire de texte, disons plutôt long paraphrasé de "1984" et résumé de "La ferme des animaux".

Il pioche quelques traits ou séquences pouvant mener à la dictature, en grossissant de fallacieuses similarités avec notre présent pour bien sous-entendre que nous y sommes, en dictature.

Et bien sûr en conclusion, il réitère sa détestation du socialisme (et pas uniquement les dictatures communistes, en rappelant que dans nazi, il y a socialisme), il est toujours bloqué sur Maastricht (son "état profond" à lui, ceux qui gouvernent dans l'ombre à l'échelle mondiale) et rétif au progrès

Ajouter à cela une pointe de climato scepticisme, un fond d'antivaxx et un zeste de oui-ouinisme (Dès qu'on pense différemment, nous sommes qualifiés de fachos...)

A mon avis, le seul point à retenir : Pour le petit peuple, la révolution doit être comprise au sens cosmologique du terme. Après une révolution, le petit peuple reprend sa place. Il a juste changé de dominant.

Ce qu'Orwell nous avait déjà signalé en 1945 avec "La ferme des animaux"

Livresquement vôtre
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