Je remonte petit à petit l'oeuvre de
Véronique Ovaldé, qui semble une infinie variation autour de la violence, l'enfermement, les pensées et les actes de liberté, la différence, le féminin et la noirceur du masculin, le corps... Ici, son écriture nous emmène dans la touffeur glaciale d'un Pôle Nord isolé, pollué, hostile. J'ai un peu décroché sur la fin, mais peut-être est-ce parce qu'ayant lu d'autres Ovaldé, écrits après celui-ci, je n'avais pas l'effet de surprise.
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