Un court roman épistolaire qui se lit en quelques heures. J'ai retrouvé avec plaisir la patte de
Pancol, la poésie de ses propositions qu'elle juxtapose entre deux virgules et des images qu'elle peint et qui, toujours, résonnent dans mon imaginaire. Je comprends que cela puisse déplaire mais en ce qui me concerne, c'est ce que je recherche dans la lecture et il faut bien avouer que c'est une des rares auteures contemporaines dont les mots et les idées font écho en moi – habituellement je me réfugie chez les grands écrivains classiques pour cela. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est de la grande littérature mais je lui reconnais ce talent de justesse et de poésie.
La littérature, justement, ce roman en fait l'éloge et, finalement, on pourra en penser ce qu'on en veut ; au moins, quand on le referme, on n'est pas démuni :
Katherine Pancol nous laisse l'air de rien une liste d'une vingtaine de livres à lire, évoqués dans
Un homme à distance avec une passion et une chaleur qui ne peuvent que donner envie de s'y plonger...
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