L'héritage, tome 3 : Brisingr

Décidément, très bonne série. Un 3eme tome toujours aussi rythmé, entre apprentissage, batailles et diverses rencontres, Eragon et Saphira poursuivent leur long et (dur) chemin avant LA rencontre.
Toujours un grand plaisir à retrouver cette histoire de Nains, Elfes et autres créatures bizarres que sont les Humains. J'ai hâte de commencer le 4ème.
Seul bémol, récurrent: violence un peu gratuite et pas vraiment raisonnée, mais, après tout, personne n'est parfait...

Encore un dragon sur cette couverture, doré cette fois. Les nouveaux personnages de cette série arrivent toujours à point nommé. Cet énorme dragon d'or et son histoire sont des plus intéressants. Ils ponctuent celle de nos héros habituels, Eragon, Saphira et Roran.

Ils deviennent de plus en plus puissants et on sent poindre le point final de l'histoire, cette confrontation tant attendue entre les méchants et les gentils.

Pour le moment, on vit un siège que l'armée des Vardens fait subir aux villes à la solde de Galbatorix. Il faut s'emparer du territoire pour pouvoir vaincre et de nombreuses excursions sont indispensables pour rallier toutes les races sous un seul et même drapeau.

J'ai hâte de me plonger dans le 4e et dernier tome.

L'Héritage est un cycle de quatre tomes. Dans le premier, on introduit l'univers et les personnages. Dans le second, le jeune héros est formé par ses aînés, et cherche tant bien que mal à se faire une place dans cet univers impitoyable et en guerre. Et dans le quatrième et dernier, on boucle toute l'histoire (un peu de manière bâclée à mon goût). que reste-t-il donc à ce troisième tome ? Toute l'aventure !
Eragon est formé, ses blessures pansées, ses alliés assurés. Alors que reste-il à Eragon et sa dragonne Saphira, sinon briller sur le champ de bataille, parader en armure, zigouiller du mini-boss entre deux donjons… Oui, j'utilise du vocabulaire de RPG sciemment : Brisingr, c'est le récit épique d'un guerrier épique dans un univers épique. le Sorceleur s'il avait son propre dragon (non, pas Skyrim, même avec Dragonborn, désolé). Si tant est que votre imagination visuelle est capable de suivre derrière, les images décrites sont épiques, magnifiques… une claque artistiquee générée par le plus puissant moteur graphique au monde : l'imagination. Et Christopher Paolini n'en manque certes pas !

Ce livre, ce tome est un des moins bien de la série. Bien qu'il soit essentiel pour préparer le 4ème tome et la fin de l'histoire, étant donné qu'il est pour moi un livre de transition, il n'y a pas assez d'actions à mon goût. C'est un peu mou, en fait, ça traine en longueur pendant au moins 200 pages avec des actions des personnages qui ne me satisfassent pas. En fait je crois que comme ils sont en campagne, je m'attendais à plus de batailles et de combats, et je me suis même demandé si à la fin du 4ème tome, ils arriveraient à la capitale, tellement c'est lent, ce qui m'a un peu déçue. Au final, les seules pages assez intéressantes à mon goût sont les 200 dernières, avec beaucoup de révélations qui sont très importantes. de plus, j'ai l'impression qu'un même schéma se répète depuis le tome 2 : la grosse bataille est à la fin, et avant ça bouge pas trop, ce qui est domage. Donc j'en attends beaucoup du dernier tome.

Un tome 3 toujours intéressant qui permet de continuer à découvrir les personnages, mais avec quelques longueurs.
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Eragon a une double promesse à tenir : aider Roran à délivrer sa fiancée, Katrina - prisonnière des Ra'zacs -, et venger la mort de son oncle Garrow. Saphira emmène les deux cousins jusqu'à Helgrind, repaire des monstres. Or, depuis que Murtagh lui a repris Zar'oc, l'épée que Brom lui avait donnée, Eragon n'est plus armé que du bâton du vieux conteur. Cependant, depuis la Cérémonie du Sang, le jeune Dragonnier ne cesse de se transformer, acquérant peu à peu les fabuleuses capacités d'un elfe. Et Roran mérite plus que jamais son surnom de Puissant Marteau. Quant à Saphira, elle est une combattante redoutable. Ainsi commence cette troisième partie de l'Héritage, où l'on verra l'intrépide Nasuada, chef des Vardens, subir avec bravoure l'épreuve des Longs Couteaux ; les Vardens affronter les soldats démoniaques de Galbatorix ; Arya et Eragon rivaliser de délicates inventions magiques ; Murtagh chevauchant Thorn, son dragon rouge, batailler contre Eragon et Saphira. On s'enfoncera dans les galeries souterraines des nains ; on se laissera séduire par Nar Garzhvog, le formidable Urgal, et par l'énigmatique Lupusänghren, l'elfe au pelage de loup ; on retrouvera avec bonheur Oromis et Glaedr, le dragon d'or ; on constatera avec jubilation que Saphira montre toujours un goût certain pour l'hydromel. Et on saura enfin pourquoi le roman porte ce titre énigmatique : Brisingr, Feu en ancien langage.Biographie de l'auteurChristopher Paolini, qui a publié Eragon à 15 ans, a grandi à l'ombre des montagnes du Montana, un décor qui l'a inspiré ! Nourri de Tolkien et des légendes nordiques, il se révèle doté d'un riche imaginaire personnel et d'un prodigieux sens du récit, passant avec virtuosité - dans ce troisième opus - de l'épique au poétique, de la violence à l'humour, de la cruauté à la tendresse, pour le plus grand plaisir de ses lecteurs !

Si je me souviens bien, c'est dans ce tome que ce joue le combat le plus intense de la saga. J'avais vraiment adoré à l'époque, cette tension, cette émotion, ces larmes... Arf... J'avais trouvé ce passage particulièrement saisissant et marquant. Ça ne me ferais peut etre pas le même effet aujourd'hui...

Eragon fait partie de ces sagas marquantes de mon adolescence.

Eragon est auprès des Vardens lorsque de nouvelles péripéties s'annoncent. Son amour pour Arya gagne du terrain et devient difficile à gérer, y compris pour Saphira...
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voici donc brisingr, qui nous conte la suite des aventures d'eragon, sa dragonne saphira, son cousin roran, et Nasuada la chef des varden.
Je dois dire que j'ai préféré ce tomme au précédent que j'avais trouvé tellement long (malgré le fait qu'ils aient a peu près le même nombre de pages).
Il est vrai que ca a commencé doucement, et qu'il y a eu quelques longueurs vers la fin, lorsqu'Eragon retourne en pays elfe (à croire que des qu'il y met les pieds, ca traine).
J'ai trouvé qu'il y avait un peu plus de suspense. J'avais un peu plus envie de rester dans mon livre. Plus envie de replonger dedans après une interruption. J'ai apprécié aussi les changement de narrateurs, ce qui donne du rythme au recit. J'ai particulièrement apprécié la manière de "penser" de Saphira et tous les nom qu'elle donne aux personnes et aux objets.
Mai tout de même y avait il besoin de 800 pages pour cela ? Car même si on ne s'ennuie pas vraiment, ca reste long. Quand je pense que le suivant est encore plus long....
bref, un avis mitigé, car même si j'ai apprécié la lecture de cette saga, j'ai quand même hâte que ca se termine.

J'ai toujours autant de plaisir à me replonger dans les aventures d'Eragon et Saphira. J'aime toujours autant l'univers, c'est prenant, rythmé et bien écrit.