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Critique de moravia


Des vaches, Paraz il en voit. Oh ! que oui ! : les roublards, les lavettes prétentieuses, la canaille sadique, les affreux. Personne n'est épargné chez les maîtres du moment ( Communistes et résistants).
Il nous parle d'eux dans son journal et dans les lettres qu'il échange avec Louis-Ferdinand Céline qui fulmine depuis son exil danois.
Paraz est à l'hopital , en sana, pour soigner ses bronches...
Il a le temps, rien à faire, sinon noircir des pages sur les commérages, les disputes inutiles, il alimente la chronique par ses provocations, sa mauvaise foi, ses extravagances.
Son écriture est comme un torrent de lave, rien n'y résiste et le lecteur lui pardonne tout tellement c'est énorRMMEUUU !!!
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