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Critique de domisylzen
Formidable. Passionnant.
Il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie (si lointaine que ça ?), Barbélú se prépare avec ses sept compagnons pour une mission d'exploration d'un nouveau monde. le grand jour arrive, ils utilisent alors les portes stellaires, pour une destination qui se trouve du côté d'Orion. Sur place, un comité d'accueil les attend, les Kingalám les mitraillent et le vaisseau-mère est touché. Avec promptitude ils s'engouffrent dans la navette de secours et se dirigent vers la première porte stellaire qu'ils trouvent sans savoir où celle-ci va les mener, ils arrivent dans un monde étrange avec des arbres immenses et de très grands animaux qui broutent leurs cimes. Mais pas le temps de rêvasser les Kingalám ont eux aussi utilisés cette porte.
Connaissant déjà les écrits d'Anton Parks sur internet, je n'ai pas été surpris des propos relatés dans ce livre.
Nous plongeons en des temps forts lointains. A une époque où les dinosaures ont à peine fait leur apparition.
Un livre en deux parties ou lors de la première, Anton Parks revient sur les grands mythes et les différentes écritures de notre histoire terrestre. La seconde laisse place à la colonisation de notre bonne vieille terre et nous glissons de l'une à l'autre sans s'en apercevoir.
Des dessins, des encarts, des arbres généalogiques précisent les concordances qu'il y a entre toutes nos anciennes légendes, quelles soient des indiens d'Amérique ou de certaines tribus d'Afrique ou de n'importe quel endroit de la planète. Toutes … toutes nous racontent la même histoire.
Un livre qui se voudrait être de la science-fiction, mais qui en fait n'en est pas.
Il y a bien longtemps dans une lointaine galaxie (si lointaine que ça ?), Barbélú se prépare avec ses sept compagnons pour une mission d'exploration d'un nouveau monde. le grand jour arrive, ils utilisent alors les portes stellaires, pour une destination qui se trouve du côté d'Orion. Sur place, un comité d'accueil les attend, les Kingalám les mitraillent et le vaisseau-mère est touché. Avec promptitude ils s'engouffrent dans la navette de secours et se dirigent vers la première porte stellaire qu'ils trouvent sans savoir où celle-ci va les mener, ils arrivent dans un monde étrange avec des arbres immenses et de très grands animaux qui broutent leurs cimes. Mais pas le temps de rêvasser les Kingalám ont eux aussi utilisés cette porte.
Connaissant déjà les écrits d'Anton Parks sur internet, je n'ai pas été surpris des propos relatés dans ce livre.
Nous plongeons en des temps forts lointains. A une époque où les dinosaures ont à peine fait leur apparition.
Un livre en deux parties ou lors de la première, Anton Parks revient sur les grands mythes et les différentes écritures de notre histoire terrestre. La seconde laisse place à la colonisation de notre bonne vieille terre et nous glissons de l'une à l'autre sans s'en apercevoir.
Des dessins, des encarts, des arbres généalogiques précisent les concordances qu'il y a entre toutes nos anciennes légendes, quelles soient des indiens d'Amérique ou de certaines tribus d'Afrique ou de n'importe quel endroit de la planète. Toutes … toutes nous racontent la même histoire.
Un livre qui se voudrait être de la science-fiction, mais qui en fait n'en est pas.
