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Critique de Mari_onlit
Quelle bonne idée de m'arrêter à la rencontre de Magdalena Parys lors du Festival Toulouse Polars du Sud.
J'ai initialement été attirée car elle est éditée aux éditions Agullo, gage de qualité.
Puis, la discussion grâce à sa traductrice s'est engagée et j'ai acheté ce 1er tome ainsi que le 2nd qui vient de sortir.
Ainsi, je me suis retrouvée plongée dans Berlin en 2011.
Un ancien employé de la Stasi est découvert terriblement torturé et décédé dans un immeuble qui, à priori, n'a rien de particulier.
Dans le même temps, en Bulgarie, un journaliste meurt alors qu'il enquêtait sur une Histoire dérangeante.
Vous pouvez ajouter un homme politique aux dents affûtées, très longues et au passé trouble... Ainsi que deux policiers, un impliqué personnellement, l'autre qui adore farfouiller là où ça fait mal.
Les fantômes du passé ne sont malheureusement que rarement endormis et c'est un très bon polar que nous livre l'autrice.
Les conséquences de la chute du Mur de Berlin et de la réunification sont palpables. Les ramifications qui liaient la RDA avec d'autres pays du bloc de l'est sont tentaculaires, tout comme les réseaux d'espionnage de la Stasi. Les vieilles habitudes ont la vie dure...
Le rôle important qu'a joué la Bulgarie m'était inconnu et rappelle des considérations contemporaines.
Toute une palette de personnages nous est offerte. Certains habitués des rouages des romans policiers, d'autres beaucoup plus profonds qui amènent une touche certaine à l'intrigue.
J'ai parfois trouvé quelques longueurs liées aux introspections des personnages. Cependant, le fond de l'intrigue a pris le dessus et a nourri ma curiosité jusqu'au bout.
Berlin est une ville extrêmement riche historiquement. Forcément, ça me parle. En plus de cela, ma tante y vit. Ça me parle d'autant plus et éveille en moi des souvenirs, de lieux notamment.
C'est aussi pour cela que cette lecture est un réussite.
Un polar noir, sanglant également et historique.
Que demander de plus ?
J'ai initialement été attirée car elle est éditée aux éditions Agullo, gage de qualité.
Puis, la discussion grâce à sa traductrice s'est engagée et j'ai acheté ce 1er tome ainsi que le 2nd qui vient de sortir.
Ainsi, je me suis retrouvée plongée dans Berlin en 2011.
Un ancien employé de la Stasi est découvert terriblement torturé et décédé dans un immeuble qui, à priori, n'a rien de particulier.
Dans le même temps, en Bulgarie, un journaliste meurt alors qu'il enquêtait sur une Histoire dérangeante.
Vous pouvez ajouter un homme politique aux dents affûtées, très longues et au passé trouble... Ainsi que deux policiers, un impliqué personnellement, l'autre qui adore farfouiller là où ça fait mal.
Les fantômes du passé ne sont malheureusement que rarement endormis et c'est un très bon polar que nous livre l'autrice.
Les conséquences de la chute du Mur de Berlin et de la réunification sont palpables. Les ramifications qui liaient la RDA avec d'autres pays du bloc de l'est sont tentaculaires, tout comme les réseaux d'espionnage de la Stasi. Les vieilles habitudes ont la vie dure...
Le rôle important qu'a joué la Bulgarie m'était inconnu et rappelle des considérations contemporaines.
Toute une palette de personnages nous est offerte. Certains habitués des rouages des romans policiers, d'autres beaucoup plus profonds qui amènent une touche certaine à l'intrigue.
J'ai parfois trouvé quelques longueurs liées aux introspections des personnages. Cependant, le fond de l'intrigue a pris le dessus et a nourri ma curiosité jusqu'au bout.
Berlin est une ville extrêmement riche historiquement. Forcément, ça me parle. En plus de cela, ma tante y vit. Ça me parle d'autant plus et éveille en moi des souvenirs, de lieux notamment.
C'est aussi pour cela que cette lecture est un réussite.
Un polar noir, sanglant également et historique.
Que demander de plus ?
