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Critique de umezzu
Bon, j'avoue m'être laissé tenter par un James Patterson parce qu'il a co-écrit récemment deux thrillers avec un ancien président des États-Unis. Deux bouquins plutôt bons. Il était peut-être temps de découvrir qui était cet auteur qui apparemment vend beaucoup aux États-Unis.
Lindsay Boxer est une flic du San Francisco Police Departement a la vie chargée, son mari, ex du FBI, est aux abonnés absents, son travail est prenant, heureusement elle a une super voisine qui s'occupe de sa fille et la bichonne en l'absence de sa mère.
Lindsay est appelée sur un quadruple meurtre dans deux chambres d'un hôtel de luxe. Deux des morts étaient manifestement en train d'espionner ce qui se passait dans la chambre d'à côté, où un professeur d'université d'origine chinoise passait du bon temps avec une sculpturale femme qui n'est pas passée inaperçue. le prof a lui aussi été exécuté. L'inconnue pourrait bien être la meurtrière, mais rien n'est sûr : le réseau wifi, et les caméras qui y sont liées, est tombé en panne au moment des faits.
Lindsay piétine et commence à s'inquiéter quand son mari, chargé de sécurité aérienne, disparaît alors qu'un avion est détruit à l'atterrissage à San Francisco.
Les faits sont-ils liés ? Et comment expliquer qu'un corps disparaisse de la morgue ?
L'intrigue est correctement menée, sans plus. On est loin d'un thriller trépidant. Une des surprises du livre (pour moi) est le côté très féminin du discours, lié à l'héroïne et à ses copines, médecin légiste ou journaliste (… le Women's Murder Club). Cet aspect se traduit notamment par des descriptions complètes des tenues des unes et des autres, marques des vêtements compris. Une façon de faire qui rappelle (et c'est pas un compliment) Mary Higgins-Clark. Cette touche féminine est sans doute l'apport de la co-auteur de cette série, Maxine Paetro.
Pourquoi pas… mais il aurait peut-être fallu injecter un peu plus de tonus dans l'histoire, et éviter de partir dans des pages de «en fait il est de la CIA, pas elle », ou l'inverse. Car, oui, on finit sur ce qui est de l'espionnage et c'est sans doute la plus mauvaise partie du récit.
C'était un essai, et il n'est pas franchement concluant. Même si je ne suis pas vraiment ennuyé, il n'est pas sûr que je relise de sitôt un James Patterson – ou peut-être son autre série Alex Cross...
Lindsay Boxer est une flic du San Francisco Police Departement a la vie chargée, son mari, ex du FBI, est aux abonnés absents, son travail est prenant, heureusement elle a une super voisine qui s'occupe de sa fille et la bichonne en l'absence de sa mère.
Lindsay est appelée sur un quadruple meurtre dans deux chambres d'un hôtel de luxe. Deux des morts étaient manifestement en train d'espionner ce qui se passait dans la chambre d'à côté, où un professeur d'université d'origine chinoise passait du bon temps avec une sculpturale femme qui n'est pas passée inaperçue. le prof a lui aussi été exécuté. L'inconnue pourrait bien être la meurtrière, mais rien n'est sûr : le réseau wifi, et les caméras qui y sont liées, est tombé en panne au moment des faits.
Lindsay piétine et commence à s'inquiéter quand son mari, chargé de sécurité aérienne, disparaît alors qu'un avion est détruit à l'atterrissage à San Francisco.
Les faits sont-ils liés ? Et comment expliquer qu'un corps disparaisse de la morgue ?
L'intrigue est correctement menée, sans plus. On est loin d'un thriller trépidant. Une des surprises du livre (pour moi) est le côté très féminin du discours, lié à l'héroïne et à ses copines, médecin légiste ou journaliste (… le Women's Murder Club). Cet aspect se traduit notamment par des descriptions complètes des tenues des unes et des autres, marques des vêtements compris. Une façon de faire qui rappelle (et c'est pas un compliment) Mary Higgins-Clark. Cette touche féminine est sans doute l'apport de la co-auteur de cette série, Maxine Paetro.
Pourquoi pas… mais il aurait peut-être fallu injecter un peu plus de tonus dans l'histoire, et éviter de partir dans des pages de «en fait il est de la CIA, pas elle », ou l'inverse. Car, oui, on finit sur ce qui est de l'espionnage et c'est sans doute la plus mauvaise partie du récit.
C'était un essai, et il n'est pas franchement concluant. Même si je ne suis pas vraiment ennuyé, il n'est pas sûr que je relise de sitôt un James Patterson – ou peut-être son autre série Alex Cross...
