Un tout petit, petit livre, onze pages seulement et pourtant un texte puissant. Ça commence brutalement, par une question, le chien de Charlie était-il si malade que ce dernier ait dû le faire piquer ? Non, pas du tout, Charlie a dû se séparer de son chien parce qu'il n'était pas brun. Après les chats, le narrateur s'est lui-même débarrassé de son matou blanc le mois précédent. Les deux hommes acceptent les raisons qu'on leur donne même s'ils ne sont pas à l'aise. Est-ce que cela suffira pour qu'ils protestent ?
Compte tenu du peu de longueur du texte, je ne vais pas vous en dire plus, mais je vous en recommande vivement la lecture.
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