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Critique de Wictoriane
"Lorsque l'inspectrice Flavia di Stefano reçoit un coup de téléphone la prévenant d'un vol imminent dans le monastère San Giovanni, elle prend l'affaire d'autant plus au sérieux que son supérieur, le général Bottando, lui a demandé d'éviter les incidents jusqu'à sa prochaine mutation, et que l'endroit abrite un célèbre Caravage"...
Après le TESTAMENT DES SIECLES de Henri Loevenbruck, je suis donc de retour dans le milieu de l'art religieux. Cette fois, il s'agit d'une mystérieuse icône qui aurait le pouvoir de protéger le paroissien. J'ai lu ce roman assez rapidement : un bon polar à travers les rues de Rome, où l'on apprend qu'il faut se méfier des fidèles et écouter les fous.
Après le TESTAMENT DES SIECLES de Henri Loevenbruck, je suis donc de retour dans le milieu de l'art religieux. Cette fois, il s'agit d'une mystérieuse icône qui aurait le pouvoir de protéger le paroissien. J'ai lu ce roman assez rapidement : un bon polar à travers les rues de Rome, où l'on apprend qu'il faut se méfier des fidèles et écouter les fous.
