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Critique de Jahyra
Ce second et dernier tome tranche énormément avec le premier, dans le sens où il s'agit tout d'abord d'une sorte de huit-clos.
On continue de changer de narrateur à chaque chapitre ou presque, dans une mécanique instaurée au premier volume, qui continue de fonctionner mais avec beaucoup moins d'impact qu'auparavant; peut-être tout simplement car l'écrasante majorité du récit est faite par le même personnage (la princesse).
On change de thèmes abordés, plus adultes, avec moins d'introspection de la part des personnages mais plus articulé autour de leurs relations établies; ce que j'ai regretté par ailleurs concernant l'antagoniste car il y avait clairement matière à faire quelque chose : des chapitres à insérer tout du long, ou même carrément un volume à part...?
Peut-être que l'auteur ne souhaitait pas qu'on s'y attache outre mesure, on risquerait de l'excuser !
La découverte de son "grand plan" ne tient pas forcément debout si on y réfléchit un peu, mais comme ce n'est présenté que comme un évènement avec un impact réduit au moment de la découverte et uniquement sur les personnages principaux, on pardonnera; surtout que ça ne sert pas à la suite puisque suite il n'y a pas (pour l'instant, je viens d'apprendre qu'il existe un troisième tome! à nuancer, donc)
Un petit goût d'inachevé reste cependant lorsqu'on referme le livre, je reste clairement surprise que ce second volume ne soit pas sur le même ton que le premier, mais ce n'est en rien un défaut et contribue à donner à chacun des tomes de cette duologie un caractère qui lui est propre.
On continue de changer de narrateur à chaque chapitre ou presque, dans une mécanique instaurée au premier volume, qui continue de fonctionner mais avec beaucoup moins d'impact qu'auparavant; peut-être tout simplement car l'écrasante majorité du récit est faite par le même personnage (la princesse).
On change de thèmes abordés, plus adultes, avec moins d'introspection de la part des personnages mais plus articulé autour de leurs relations établies; ce que j'ai regretté par ailleurs concernant l'antagoniste car il y avait clairement matière à faire quelque chose : des chapitres à insérer tout du long, ou même carrément un volume à part...?
Peut-être que l'auteur ne souhaitait pas qu'on s'y attache outre mesure, on risquerait de l'excuser !
La découverte de son "grand plan" ne tient pas forcément debout si on y réfléchit un peu, mais comme ce n'est présenté que comme un évènement avec un impact réduit au moment de la découverte et uniquement sur les personnages principaux, on pardonnera; surtout que ça ne sert pas à la suite puisque suite il n'y a pas (pour l'instant, je viens d'apprendre qu'il existe un troisième tome! à nuancer, donc)
Un petit goût d'inachevé reste cependant lorsqu'on referme le livre, je reste clairement surprise que ce second volume ne soit pas sur le même ton que le premier, mais ce n'est en rien un défaut et contribue à donner à chacun des tomes de cette duologie un caractère qui lui est propre.
