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Critique de anlixelle
Quand Pef écrit page 76 : " J'ai cette hâte brouillonne de donner à voir, à faire entendre, muets sur la page, des mots qui bouillonnent", il est incontestable que le nombre de mots, qui grâce à son petit éloge de la lecture se sont organisés, entrelacés, agencés est grand.
Le nombre de mots est bien grand, même si le livre est court.
Le livre est court, mais long, très long à lire. Et ici "très" c'est trop.
Les situations, les références, les souvenirs ... tous s'entrechoquent et je n'ai pas tenu la distance. Cette lecture est devenue douloureuse et j'ai dû l'abréger, soûlée par le rythme et mon incapacité à suivre Pef dans ses délires littéraires inaccessibles pour moi.
Merci de ne pas oublier le lecteur en pensant aussi à lui, et pas seulement à remplir les pages .... de mots.
Lien : http://justelire.fr/petit-el..
Le nombre de mots est bien grand, même si le livre est court.
Le livre est court, mais long, très long à lire. Et ici "très" c'est trop.
Les situations, les références, les souvenirs ... tous s'entrechoquent et je n'ai pas tenu la distance. Cette lecture est devenue douloureuse et j'ai dû l'abréger, soûlée par le rythme et mon incapacité à suivre Pef dans ses délires littéraires inaccessibles pour moi.
Merci de ne pas oublier le lecteur en pensant aussi à lui, et pas seulement à remplir les pages .... de mots.
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