>
Critique de jamiK
Je continue d'apprécier cette série. Il n'y a pas si longtemps, on m'aurait dit que je lirai des westerns sous forme de romans, je n'y aurais pas cru, ce genre est tellement tributaire de l'image, mais voilà, Pierre Pelot sait y faire, son écriture est très visuelle, claire et chargée d'images, de sons, d'odeur. Et il y a aussi ses personnages bien campés, pas facile de mettre en scène un taiseux avec des mots, mais avec tous ces éléments, il installe une ambiance forte, lourde d'intensité, pesante et marquante.
Pour parvenir à se venger de la mort de ses parents, Dylan Stark se fait enfermer au bagne de Mountain Grove pour retrouver leur tueur. C'est l'hiver, il neige, les conditions sont rudes, et son plan ne sera pas aussi simple qu'il le pensait, et puis Dylan est-il du genre à tuer de sang-froid ?
Ce septième opus est un peu moins spécifiquement western que le tome précédent, c'est presque plus “La grande évasion” que “Règlement de compte à OK Corral". On quitte les grands espaces pour l'enfermement mais il y a une cohérence dans l'évolution de son personnage, ses comportements. le rythme est soutenu, malgré l'ambiance de huis clos dans la presque totalité du roman, j'étais accroché au récit que j'ai littéralement dévoré. C'est bien mené, écrit avec une écriture tout en pudeur, pesant sur les silences, les temps morts, les regards, une écriture pas tapageuse, cherchant la sensibilité des instants.
Je suis à nouveau étonné par la qualité de cette série, chez un auteur qui s'est souvent cantonné aux genres mineurs, mais qui le fait avec un vrai talent de conteur. Ce roman est une belle surprise, mais toute la série est une belle surprise.
Ça m'a plu de le retrouver Dylan Stark une septième fois, et je compte bien ne pas m'arrêter là.
Pour parvenir à se venger de la mort de ses parents, Dylan Stark se fait enfermer au bagne de Mountain Grove pour retrouver leur tueur. C'est l'hiver, il neige, les conditions sont rudes, et son plan ne sera pas aussi simple qu'il le pensait, et puis Dylan est-il du genre à tuer de sang-froid ?
Ce septième opus est un peu moins spécifiquement western que le tome précédent, c'est presque plus “La grande évasion” que “Règlement de compte à OK Corral". On quitte les grands espaces pour l'enfermement mais il y a une cohérence dans l'évolution de son personnage, ses comportements. le rythme est soutenu, malgré l'ambiance de huis clos dans la presque totalité du roman, j'étais accroché au récit que j'ai littéralement dévoré. C'est bien mené, écrit avec une écriture tout en pudeur, pesant sur les silences, les temps morts, les regards, une écriture pas tapageuse, cherchant la sensibilité des instants.
Je suis à nouveau étonné par la qualité de cette série, chez un auteur qui s'est souvent cantonné aux genres mineurs, mais qui le fait avec un vrai talent de conteur. Ce roman est une belle surprise, mais toute la série est une belle surprise.
Ça m'a plu de le retrouver Dylan Stark une septième fois, et je compte bien ne pas m'arrêter là.
