Citations sur Konnar le Barbant, tome 4 : Gilbert le Barbant, le re.. (2)
Quant à Milia, elle décroisa les jambes et les recroisa dans l’autre sens dans une pure expression de basique instinct. Nous voulons dire par là non plus l’une sur l’autre, mais l’autre sur l’une. Et se tortilla un peu de la taille et du fessier sur son siège, ce qui propagea le mouvement jusqu’à ses épaules.
(Ce n’est pas que le mouvement de Milia la Garce ait une réelle importance dans le cours de ce récit, à cet instant, mais au moins autant que le « ouais » de Isrich et Valentin, et puis c’est plutôt joli à voir.)
Et quand, plus tard, racontant l'événement, J.L.G. commençait par ces mots "Faut croire que c'était pas mon jour...", il avait parfaitement raison.
Ce n'était le jour de personne.
C'était la nuit.