Chaque lecteur sera évidemment content d'être de la partie finale, d'être partie prenante à cet épilogue de la comédie Malaussénienne. On retrouve les habitués. Il faut quand même avouer un bémol : le scénario est un brin compliqué, il a dû nécessiter chez
Pennac la confection de fiches un peu laborieuses, ce qui donne un résultat un peu lourd, indigeste. Si l'on rajoute que l'histoire sous-jacente n'est finalement pas passionnante (à moins d'aimer le foot ou les bandits), on conclura que ce n'est pas le meilleur tome.
Côté forme, on pourra ne pas apprécier les majuscules après les deux-points et remarquer qu'il y a beaucoup moins de trouvailles sémantiques que dans les tomes les plus célèbres.
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