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Critique de Miralb
Premier roman policier de cet auteur que je lis et je pense continuer en reprenant à partir du tome 1 de la série «Une enquête de l'inspecteur-chef Armand Gamache» (c'est le 9ème volume sur 17!).
L'épisode se passe entre Montréal et le minuscule village de Three Pines dans lequel Myrna thérapeute à la retraite et amie de Gamache s'est installée comme libraire, fait appel à ses services.
Constance, une de ses anciennes patientes devenue amie a disparu. Elle était l'une des célèbres quintuplées «miraculeusement» (l'adverbe a son importance) nées dans les années 1930, exploitées jusqu'à plus soif par le gouvernement et le docteur ayant soi-disant accouché leur mère.
Depuis l'âge adulte, elles vivaient ensemble dans la plus grande discrétion. Constance était la dernière survivante.
En parallèle, Armand Gamache est l'objet d'une mise à l'écart de la part du chef de la police.
Son équipe a été démantelée, ses agents dispersés et ceux qui les remplacent sont de notoires tire-au-flanc qui se gaussent ouvertement de lui.
Il semblerait que le tome précédent donne des éclaircissements, mais il est évident que des personnalités très haut placées fomentent un complot politique d'ampleur majeure pour la sécurité et l'intégrité du Québec.
Dans ce roman pas de serial killer (quoique...), pas de scènes de torture, pas de mise à mort (quoique...).
Mais une ambiance délétère, une course-poursuite par le biais de la cybercriminalité, du terrorisme intérieur et d'un projet de destruction à grande échelle.
La fin justifie tous les moyens.
Louise Penny prend son temps, installe le cadre, les personnages, cerne leur personnalité, distille peu à peu les indices.
Pas mal du tout !
Remarque : ce roman est traduit de l'anglais et non écrit en français.
L'épisode se passe entre Montréal et le minuscule village de Three Pines dans lequel Myrna thérapeute à la retraite et amie de Gamache s'est installée comme libraire, fait appel à ses services.
Constance, une de ses anciennes patientes devenue amie a disparu. Elle était l'une des célèbres quintuplées «miraculeusement» (l'adverbe a son importance) nées dans les années 1930, exploitées jusqu'à plus soif par le gouvernement et le docteur ayant soi-disant accouché leur mère.
Depuis l'âge adulte, elles vivaient ensemble dans la plus grande discrétion. Constance était la dernière survivante.
En parallèle, Armand Gamache est l'objet d'une mise à l'écart de la part du chef de la police.
Son équipe a été démantelée, ses agents dispersés et ceux qui les remplacent sont de notoires tire-au-flanc qui se gaussent ouvertement de lui.
Il semblerait que le tome précédent donne des éclaircissements, mais il est évident que des personnalités très haut placées fomentent un complot politique d'ampleur majeure pour la sécurité et l'intégrité du Québec.
Dans ce roman pas de serial killer (quoique...), pas de scènes de torture, pas de mise à mort (quoique...).
Mais une ambiance délétère, une course-poursuite par le biais de la cybercriminalité, du terrorisme intérieur et d'un projet de destruction à grande échelle.
La fin justifie tous les moyens.
Louise Penny prend son temps, installe le cadre, les personnages, cerne leur personnalité, distille peu à peu les indices.
Pas mal du tout !
Remarque : ce roman est traduit de l'anglais et non écrit en français.
