Comme toutes les petites filles, j'ai une version en tête de
la Belle au bois dormant, robe rose, cheveux blonds, baiser d'amour véritable, Maléfique, le dragon et tout le toutim. Quand on revient à l'origine de ce conte, il est très différent et on découvre un développement étonnant après le moment du fameux "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" choisi par
Walt Disney pour terminer son adaptation.
C'est amusant parce qu'en grandissant (okay en vieillissant), il m'est souvent arrivé de me dire en regardant les comédies romantiques que le plus difficile arrive après le clap de fin et c'est ce qui est démontré dans ce conte, qui ne date pourtant pas d'hier. C'est horrible au premier degré mais plutôt jubilatoire au second degré : la méchante belle-mère à son paroxysme !
Merci
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