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Citations sur Changer l'eau des fleurs (1448)

J'entends souvent : " Perdre un enfant c'est ce qu'il y a de pire." Mais j'entends dire aussi que le pire, c'est de ne pas savoir. Qu'il y a plus effroyable qu'une tombe, il y a le visage d'un disparu placardé sur des poteaux, des murs, des vitrines, des journaux, un écran de télévision. Des photos qui vieillissent mais jamais le visage qu'elles représentent. Qu'il y a plus terrible qu'un enterrement, il y a la date anniversaire de la disparition, le journal télévisé, le lâcher de ballons, la marche blanche et silencieuse.
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Les mots lus s'en vont hurler au fond de nous.
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Je ne sais si tu es en moi ou si je suis en toi, ou si tu m'appartiens.
Je pense que nous sommes tous les deux à l'intérieur d'un autre être que nous avons créé et qui s'appelle «nous ».
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Dors, mamy, dors, mais que nos rires d'enfants tu les entendent encore au plus profond du firmament.
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Je serai définitivement une femme qui ne quitterait jamais mais qui serait quittée.
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Un joli nom, ça n’empêche personne d’être un salaud.
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Ce livre est une ode à l'amour, à la vie, à l'espoir.
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Le livre de la vie est le livre suprême, qu’on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix, on voudrait revenir à la page où l’on aime, et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts.
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Ils sont morts . la seule différence entre eux c’est le bois de leur cercueil : chêne, pin ou acajou .
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«Mon amour, mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour, de l'aube claire jusqu'à la fin du jour, je t'aime encore, tu sais. Je t'aime.
Moi qui plaide, qui récuse, improvise, défends des assassins, des innocents, des victimes, je pique des mots à Jacques Brel pour te dire tout le fond de ma pensée.
Si tu es en train de lire cette lettre c'est que je suis passé de vie à trépas. J'ai pris de l'avance sur toi, ce sera bien la première fois. Je n'ai rien d'autre à t'écrire que tu ne saches déjà, à part que j'ai toujours détesté ton prénom.
Irène, que c'est moche, Irène. Tout te va, tu peux tout porter. Mais un prénom pareil, c'est comme le vert bouteille ou la couleur moutarde, ça ne va à personne.
Le jour où je t'ai attendue dans ma voiture, je savais que tu ne reviendrais pas, que je t'attendais pour rien. C'est ce vien qui ma empéché de démarrer tout de suite.
Elle ne va pas revenir, il ne me reste rien.
Tu m'as tellement manqué. Et ça ne fait que com-mencer.
Nos hôtels, l'amour l'après-midi, toi sous les draps...
Tu resteras tous mes amours. Le premier, le deuxième, le dixième et le dernier. Tu resteras mes plus beaux souvenirs. Mes grandes espérances.
Ces villes de province qui devenaient des capitales dès que tu en foulais les trottoirs, je n'oublierai jamais.
Tes mains dans les poches, ton parfum, ta peau, tes foulards, ma terre natale.
Mon amour.
Tu as vu, je n'ai pas menti, je t'ai laissé une place à côté de moi pour l'éternité. Je me demande si là-haut, tu continueras à me vouvoyer.
Ne presse pas le pas, j'ai tout mon temps. Profite encore un peu du ciel vu d'en bas. Profite surtout des dernières neiges.
À tout à l'heure.
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