Olivier Véran... envoie à l'étranger les derniers masques qui nous restent...il ramène le virus en France à bord des avions de l'armée de l'air.
On a vu des hommes plus occupés à se concilier les faveurs du pouvoir qu'à chercher un remède.
Il fallait par une longue, très longue procédure vérifier que la lance à incendie était homologuée avant de se risquer à combattre les flammes.
La crise du coronavirus a plus durement touché la France que d'autres pays, parce qu'elle était gérée par des personnes certes bouffies de certitudes, mais n'ayant pour la plupart aucune expérience de la gestion de crises sanitaires. Alors qu'il fallait se mettre dans une logique de médecine de guerre, où chaque jour compte, elles ont poursuivi leur train-train quotidien comme si de rien n'était.
La Chloroquine, qui dit que c’est efficace ? …à part la moitié de la planète ?
Chaque service était censé produire des points d'activité qui devraient être récompensés par une augmentation du budget. Quand on a expliqué à nos profs que, si on augmentait notre activité, on coûtait trop cher à la sécu, du coup celle-ci, via l'ONDAM (Objectif National de Dépenses d'assurance Maladie), réduisait automatiquement le prix du point, ils n'en ont pas cru leurs oreilles.
Mais j'en veux plus encore à ceux qui sont à la manoeuvre aujourd'hui. Pour s'être fait dépister, et souvent hospitaliser aussi, sans aucun symptôme grave, à titre préventif en clair. Pendant qu'ils claironnent à la "populace" que pour eux se laver les mains et prendre du Doliprane suffira.
Au-delà des relations complexes entre les membres du conseil scientifique et les grands laboratoires, il faut bien comprendre que ce système peut transformer d'excellents médecins en stratèges d'un lobbying au service du secteur privé.
Combien de morts auraient pu être évitées ? Mais, défaut bien français, le dogmatisme l'a emporté sur le pragmatisme.
Il faudrait aussi mentionner les nombreux conflits d'intérêts qui pourraient exister avec l'industrie pharmaceutique.