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Critique de GabrielAntoine
Bonjour je m'appelle Gabriel, je suis à Decroly, en première.
j'ai lu ce livre à l'école. j'ai trouver que le genre du roman était chouette car c'était de l'aventure. J'ai aussi trouvé que les personnages, la plupart, je m'y suis accroché, sauf un, que j'ai trouvé trop froussard. la lecture était facile et j'ai trouvé amusant le fait qu'il (l'auteur) ai mit des mots en espagnol qui était traduit en bas de la page. j'ai trouvé que le livre était pas super original, j'ai l'habitude des histoires ou l'on part à la recherche; car dans le bouquin les personnages partent à la recherche de la mère d'une des personnage pricipal. Je trouve que le livre ne m'a pas fortement touché même si il parlait de la déforestation.
Voici un extrait:
« Je n'ai plus que quelques minutes d'électricité par jour et je ne pourrai certainement plus t'envoyer de nouvelles avant un certain temps, mais não se préoccupe, Talia, tudo bem. Ne t'inquiète de rien. Tout va bien. » Talia a beau relire le dernier mail de sa mère pour se rassurer, le « certain temps » s'éternise.
Gabriel
j'ai lu ce livre à l'école. j'ai trouver que le genre du roman était chouette car c'était de l'aventure. J'ai aussi trouvé que les personnages, la plupart, je m'y suis accroché, sauf un, que j'ai trouvé trop froussard. la lecture était facile et j'ai trouvé amusant le fait qu'il (l'auteur) ai mit des mots en espagnol qui était traduit en bas de la page. j'ai trouvé que le livre était pas super original, j'ai l'habitude des histoires ou l'on part à la recherche; car dans le bouquin les personnages partent à la recherche de la mère d'une des personnage pricipal. Je trouve que le livre ne m'a pas fortement touché même si il parlait de la déforestation.
Voici un extrait:
« Je n'ai plus que quelques minutes d'électricité par jour et je ne pourrai certainement plus t'envoyer de nouvelles avant un certain temps, mais não se préoccupe, Talia, tudo bem. Ne t'inquiète de rien. Tout va bien. » Talia a beau relire le dernier mail de sa mère pour se rassurer, le « certain temps » s'éternise.
Gabriel
