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Critique de Arlavor


Quand j'ai ouvert ce roman, je ne m'attendais pas être autant aspiré par cette histoire. On s'attache très vite aux nombreux personnages, notamment aux deux enfants de la famille Dolce et les pages filent sans qu'on s'en rende compte. Ce qui m'a le plus intrigué avant même d'ouvrir le livre, c'est la couverture. L'histoire étant censée se dérouler à New York, je ne comprenais pas vraiment la présence du bus à l'impériale.


Le roman est divisé en plusieurs parties qui correspondent aux jours pendant lesquels l'histoire se déroule. J'ai trouvé ce procédé plutôt ingénieux car il permet de découvrir ce qu'il arrive à tous les personnages à plusieurs moments de la journée sans pour autant être perdu et ne plus savoir où on en est. On peut dire qu'il se passe un nombre incroyables de choses en peu de jours.

Dans la famille Dolce, on a le grand-père, Melkaridion, un très vieux magicien qui a connut plusieurs époques de l'Histoire, un magicien vieillissant beaucoup moins vite qu'un être humain normal. Nous avons aussi Mélidiane et Rodolpherus, les parents, ainsi qu'Antonius et Leamedia, les enfants adolescents. L'anniversaire des onze ans (seize ans en vrai) arrivent et elle va devenir magicienne mais elle se rebelle tandis qu'au même moment, le Metropolitan (un musée de New York) expose un vieux livre qui intéresse beaucoup la famille Dolce mais également les sorciers qui cherchent à les détruire. Comme les Dolce sont la dernière famille de magiciens, ils ne sont plus autant puissants qu'autrefois mais on quand même de grandes capacités qu'ils doivent s'efforcer de cacher au monde.

On se rend vite compte que tous les personnages que l'on rencontre, hors la famille Dolce, leur sont liés où tentent de mieux les connaître. Par exemple, Debby, qui voudrait devenir amie avec Melidiane, Philippe Delondres, qui connait l'histoire de la famille Dolce et qui tentent de les aider avec l'aide de sa fille journaliste, Virginie ou encore les terribles ennemis des Dolce, La guilde noire.

Ce que j'ai aimé dans ce roman, c'est qu'il ne parle pas uniquement de magie mais de beaucoup d'autres choses, notamment de la famille avec Les Dolce ou avec la petite famille que forment Philippe et Virginie. Il parle également d'amitié, d'amour, d'éducation, d'adolescence, de trahison et de complot. On comprend vraiment ce que peuvent ressentir les personnages dans les situations dans lesquelles ils ont amenés à être.

C'est un très bon roman, vraiment bien écrit et qui mérite vraiment d'être lu. L'auteur, Frédéric Petitjean est principalement scénariste et cela se sent dans son écriture et dont la manière dont les différentes scènes sont chapitrées.

Le seul problème, c'est peut-être la quatrième de couverture qui révèle trop de choses qui arrivent assez tard dans le roman et c'est assez dommage.

Et puis, c'est une trilogie qui nous attend. le deuxième tome Les Dolce, Les cinq secrets devrait paraître en octobre 2012.


Vivement la suite !
Lien : http://lemondedarlavor.blogs..
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