Je crois, moi, que le roman est un bon microscope pour observer les métamorphoses du vivant, le meilleur peut-être. Relire les œuvres de Stendhal, de Flaubert ou de Hemingway suffit à m'en convaincre.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.