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Critique de Phoenicia
Un recueil de nouvelles qui ne m'aura pas autant séduit que les autres, je dois bien l'avouer.
Le principe reste le même : Pierre Pevel nous donne une petite nouvelle et laisse son univers, ses personnages à d'autres plumes pour d'autres nouvelles. le principe est bon d'autant que beaucoup parviennent vraiment à reconstituer cet univers, rendre son aspect féérique et belle époque que j'aime tant. Dans ce recueil, cela n'a pas fait exception. L'atmosphère est là. Je prends toujours beaucoup de plaisir à m'immerger dans cet univers de Paris de la Belle Epoque, ses boulevards, ses habitudes, les fées, chat ailé, enchanteresses et arbre savant qui l'anime à leur manière. Encore plus, j'ai toujours beaucoup de plaisir à retrouver des personnages phares, rencontrés dans les récits de Pevel.
Mais (parce qu'il y a un mais...) j'ai au final accroché avec peu des enquêtes proposées. C'est simple, j'ai trouvé les histoires sympathiques dans leur ensemble mais je n'étais pas du tout transportée par beaucoup. Attention, cela reste plaisant à lire, je n'en disconviens pas. Certaines ont d'ailleurs été très bonnes. Mes deux préférées sont celles d'Adélie Pellarin ("L'absinthe pourpre") et de Benjamin Lupu ("L'affaire du cirque de la Lune"). L'enquête a été menée de manière limpide, sans longueurs, alors que j'ai réussi à en trouver dans d'autres (format nouvelles rappelons-le).
Pour ce qui est de celle de Pevel, je l'ai trouvée intéressante, dans le sens où il revisite la BD les Artilleuses du point de vue d'un journaliste, personnage emprunté à un autre classique de la littérature policière. le nouvel éclairage comme "l'emprunt" de Pevel sont intéressants ( même si n'ayant jamais lu le classique en question, je pense que j'y perds forcément) mais j'avoue être un peu frustrée. J'aurai aimé une nouvelle histoire, quitte à mettre une 2e nouvelle écrite de sa main.
Le principe reste le même : Pierre Pevel nous donne une petite nouvelle et laisse son univers, ses personnages à d'autres plumes pour d'autres nouvelles. le principe est bon d'autant que beaucoup parviennent vraiment à reconstituer cet univers, rendre son aspect féérique et belle époque que j'aime tant. Dans ce recueil, cela n'a pas fait exception. L'atmosphère est là. Je prends toujours beaucoup de plaisir à m'immerger dans cet univers de Paris de la Belle Epoque, ses boulevards, ses habitudes, les fées, chat ailé, enchanteresses et arbre savant qui l'anime à leur manière. Encore plus, j'ai toujours beaucoup de plaisir à retrouver des personnages phares, rencontrés dans les récits de Pevel.
Mais (parce qu'il y a un mais...) j'ai au final accroché avec peu des enquêtes proposées. C'est simple, j'ai trouvé les histoires sympathiques dans leur ensemble mais je n'étais pas du tout transportée par beaucoup. Attention, cela reste plaisant à lire, je n'en disconviens pas. Certaines ont d'ailleurs été très bonnes. Mes deux préférées sont celles d'Adélie Pellarin ("L'absinthe pourpre") et de Benjamin Lupu ("L'affaire du cirque de la Lune"). L'enquête a été menée de manière limpide, sans longueurs, alors que j'ai réussi à en trouver dans d'autres (format nouvelles rappelons-le).
Pour ce qui est de celle de Pevel, je l'ai trouvée intéressante, dans le sens où il revisite la BD les Artilleuses du point de vue d'un journaliste, personnage emprunté à un autre classique de la littérature policière. le nouvel éclairage comme "l'emprunt" de Pevel sont intéressants ( même si n'ayant jamais lu le classique en question, je pense que j'y perds forcément) mais j'avoue être un peu frustrée. J'aurai aimé une nouvelle histoire, quitte à mettre une 2e nouvelle écrite de sa main.
