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Critique de Zora-la-Rousse
À l'occasion des vacances d'été, et stimulée par un charmant défi m'engageant à lire un roman comportant un dragon dans le synopsis, je me suis attaquée à la trilogie de Pierre Pevel : Les Lames du Cardinal.
Ces trois tomes-fantasy figuraient en effet dans ma PAL depuis un certain temps, ayant eu la chance de rencontrer l'auteur en personne au cours du festival Les Imaginales d'Épinal...
Dragon écrivais-je… Dès les premières pages, l'univers est décrit et l'intrigue posée : nous sommes en 1633, sous le règne de Louis XIII et la gouvernance de Richelieu. Les enjeux politiques sont alors nombreux et le plus important d'entre eux reste le combat contre l'influence des dragons, tramée notamment depuis la cour d'Espagne. Pour servir ses desseins et se défendre contre ces ennemis dissimulés parmi les humains, Armand Jean du Plessis va devoir de nouveau faire appel à une unité secrète qui lui est dévouée : les Lames du Cardinal.
Cette convocation va permettre la reconstitution d'une équipe de combattants qui s'était trouvée dissoute après le fiasco du siège de la Rochelle, quelque temps auparavant. Cet échec avait malheureusement été provoqué par une trahison interne et généré la mort de l'un d'entre eux, causant ainsi pour tous une blessure inguérissable. Ces personnages multiples, aux différents talents et caractères, vont une fois de plus unir leurs talents autour de leur emblématique capitaine La Fargue pour déjouer un terrible complot.
Voici donc un roman de cape et d'épée pur et dur, mêlé d'une belle nuance de fantastique, mené tambour battant au coeur d'un Paris du XVIIème siècle à la présence continuelle. Les personnages sont attachants, la narration dynamique et richement documentée. Quelques redondances dans les descriptions, un petit défaut inhérent au volume premier d'une série à venir qui cherche par trop d'intention à installer le décor, n'empêchent cependant pas le lecteur de passer un très bon moment de lecture-détente, et de désirer poursuivre rapidement sur le tome 2...
Ces trois tomes-fantasy figuraient en effet dans ma PAL depuis un certain temps, ayant eu la chance de rencontrer l'auteur en personne au cours du festival Les Imaginales d'Épinal...
Dragon écrivais-je… Dès les premières pages, l'univers est décrit et l'intrigue posée : nous sommes en 1633, sous le règne de Louis XIII et la gouvernance de Richelieu. Les enjeux politiques sont alors nombreux et le plus important d'entre eux reste le combat contre l'influence des dragons, tramée notamment depuis la cour d'Espagne. Pour servir ses desseins et se défendre contre ces ennemis dissimulés parmi les humains, Armand Jean du Plessis va devoir de nouveau faire appel à une unité secrète qui lui est dévouée : les Lames du Cardinal.
Cette convocation va permettre la reconstitution d'une équipe de combattants qui s'était trouvée dissoute après le fiasco du siège de la Rochelle, quelque temps auparavant. Cet échec avait malheureusement été provoqué par une trahison interne et généré la mort de l'un d'entre eux, causant ainsi pour tous une blessure inguérissable. Ces personnages multiples, aux différents talents et caractères, vont une fois de plus unir leurs talents autour de leur emblématique capitaine La Fargue pour déjouer un terrible complot.
Voici donc un roman de cape et d'épée pur et dur, mêlé d'une belle nuance de fantastique, mené tambour battant au coeur d'un Paris du XVIIème siècle à la présence continuelle. Les personnages sont attachants, la narration dynamique et richement documentée. Quelques redondances dans les descriptions, un petit défaut inhérent au volume premier d'une série à venir qui cherche par trop d'intention à installer le décor, n'empêchent cependant pas le lecteur de passer un très bon moment de lecture-détente, et de désirer poursuivre rapidement sur le tome 2...
