L'homme veut toujours plus que ce qu'on lui offre. Même nageant dans le bonheur, il voudra plus. Éternel insatisfait, il court après l'absolu, avalant des kilomètres et des kilomètres de sa vie sans s'en rendre compte.
C'est fou ce qu'on peut gâcher de belles choses tout simplement parce qu'on ne peut pas se contenter de ce que nous offrent les autres.
Je ne crois pas vraiment en l'interprétation des rêves. Pour moi, on peut leur faire dire ce qu'on veut même si je veux bien concéder qu'il y a une part de nos désirs, craintes ou autres, qui vient de notre inconscient.
S'ils savaient les autres, à quel point les masques que l'on porte peuvent nous étouffer !
Probabilités et équations, ce sont des formules qu'elle maîtrise déjà. Mais l'amour n'est pas une science exacte.
La vengeance est une boisson qui s'avale cul sec.
En guise de bonne nouvelle, on attendra la Poste.
Bien sûr, un coma éthylique c'est toujours plus chic qu'un smoking versace.
[...] on commence à refaire le monde, le défaire puis l'envoyer se faire foutre. Cul sec.
De quoi me rappeler au bon souvenir de mon banquier qui me reproche souvent de faire du nudisme fiscal, même hors saison.