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Critique de JML38
Deuxième roman de Laurent Philipparie que je lis, et j'apprécie sa facilité à embarquer son lecteur dans un récit rythmé, basé sur une intrigue originale.
L'histoire a en partie pour cadre un cabaret de la région de Sarlat où se produisent acrobates, magiciens, danseuses, sous la férule de Virginie, ex-gloire du music-hall devenue directrice de revue.
Jenny, qui fait partie de cette troupe, est mariée à Didier, gendarme dont la brigade est confrontée à un tueur sadique qui s'en prend à des touristes allemandes.
Face à la maladie de leur petite fille de cinq ans, le couple se tourne vers Virginie, adepte du Reiki, une méthode de soins non conventionnelle d'origine japonaise qui pourrait être leur ultime espoir.
L'auteur mène en parallèle, et avec brio, la course contre la montre pour sauver Luna et la traque du psychopathe, les deux pans de l'histoire connaissant rapidement des interactions poussant dans leurs retranchements deux parents refusant d'abdiquer, quelles que soient les conséquences de leurs actions.
Laurent Philipparie a selon moi gagné en sobriété par rapport à « Lectio Letalis », ce qui se ressent au niveau de l'intérêt de l'intrigue. Suspense et rebondissements sont à l'honneur dans ce roman que j'ai pris plaisir à lire.
Je tiens à remercier Babelio et les Éditions PLON pour cette lecture dans le cadre de l'opération « Masse Critique Spéciale Polar Plon ».
L'histoire a en partie pour cadre un cabaret de la région de Sarlat où se produisent acrobates, magiciens, danseuses, sous la férule de Virginie, ex-gloire du music-hall devenue directrice de revue.
Jenny, qui fait partie de cette troupe, est mariée à Didier, gendarme dont la brigade est confrontée à un tueur sadique qui s'en prend à des touristes allemandes.
Face à la maladie de leur petite fille de cinq ans, le couple se tourne vers Virginie, adepte du Reiki, une méthode de soins non conventionnelle d'origine japonaise qui pourrait être leur ultime espoir.
L'auteur mène en parallèle, et avec brio, la course contre la montre pour sauver Luna et la traque du psychopathe, les deux pans de l'histoire connaissant rapidement des interactions poussant dans leurs retranchements deux parents refusant d'abdiquer, quelles que soient les conséquences de leurs actions.
Laurent Philipparie a selon moi gagné en sobriété par rapport à « Lectio Letalis », ce qui se ressent au niveau de l'intérêt de l'intrigue. Suspense et rebondissements sont à l'honneur dans ce roman que j'ai pris plaisir à lire.
Je tiens à remercier Babelio et les Éditions PLON pour cette lecture dans le cadre de l'opération « Masse Critique Spéciale Polar Plon ».
