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Critique de bdelhausse
Avec Black Friday, Arthur de Pins renoue avec les aspects "critique sociale" qui m'avaient plu dès le départ, mais qui étaient absents du tome 4. Consumérisme, quand tu nous tiens... La bourse et le rendement financier dominent le monde, la criminalité en col blanc fait florès, renforcée par l'âpreté de la gestion des ressources humaines par l management team du parc à thème de Douchy-les-Mines.
J'adore les auteurs qui n'hésitent pas à aller dans la démesure "contrôlée". La curée orchestrée par Behemoth sur les visiteurs humains est un grand moment. le tout filmé en direct par les télévisions qui commentent les événements en mélangeant réel et show médiatique. Une belle métaphore de notre société. de la BD comme je l'aime.
Cerise sur le gâteau, les Corons de Pierre Bachelet... en anglais, chanté comme le choeur des esclaves de Nabucco... Un grand moment.
J'adore les auteurs qui n'hésitent pas à aller dans la démesure "contrôlée". La curée orchestrée par Behemoth sur les visiteurs humains est un grand moment. le tout filmé en direct par les télévisions qui commentent les événements en mélangeant réel et show médiatique. Une belle métaphore de notre société. de la BD comme je l'aime.
Cerise sur le gâteau, les Corons de Pierre Bachelet... en anglais, chanté comme le choeur des esclaves de Nabucco... Un grand moment.
