>
Critique de BurjBabil
Livre intéressant pour découvrir le parcours politique de celle qui deviendra probablement la prochaine présidente des états unis si le camp démocrate l'emporte.
Ou bien si ... "Trois semaines et Joe est abattu. Kamala, tu es prête ?" disait par exemple M. Trump à la nouvelle vice-présidente.
Tout le personnage s'articule autour du combat contre le racisme, ce qui se comprend. Mais en dehors de cet aspect, on ne détecte pas grand chose d'original dans la réussite de cette femme au coeur du pouvoir étasunien.
"Elle s'était élevée par ses seules forces dans la jungle politique de San Francisco, avait gagné des combats difficiles et s'était montrée tenace et résolue".
Les exemples du livre dépeignent surtout une opposante politique à M. Trump et à ses soutiens, ce qui n'est pas très original pour le camp libéral.
"Kamala était devenue une invitée régulière des émissions de télévision, son aisance, son franc-parler, son humour en faisaient l'une des stars montantes de Washington"
Cela m'a fait penser à M. Obama, version féminine.
Il est temps donc que les étasuniens l'élisent pour en finir avec le totem de la nouveauté et bien comprendre que ce ne sont ni le sexe ni la couleur de peau ni l'origine ethnique des parents d'un président qui fondent la substance de la politique d'un pays.
Le vaisseau amiral états-unis continuera à garder le cap que ses intérêts lui commandent, Kamala Harris ou pas.
Ou bien si ... "Trois semaines et Joe est abattu. Kamala, tu es prête ?" disait par exemple M. Trump à la nouvelle vice-présidente.
Tout le personnage s'articule autour du combat contre le racisme, ce qui se comprend. Mais en dehors de cet aspect, on ne détecte pas grand chose d'original dans la réussite de cette femme au coeur du pouvoir étasunien.
"Elle s'était élevée par ses seules forces dans la jungle politique de San Francisco, avait gagné des combats difficiles et s'était montrée tenace et résolue".
Les exemples du livre dépeignent surtout une opposante politique à M. Trump et à ses soutiens, ce qui n'est pas très original pour le camp libéral.
"Kamala était devenue une invitée régulière des émissions de télévision, son aisance, son franc-parler, son humour en faisaient l'une des stars montantes de Washington"
Cela m'a fait penser à M. Obama, version féminine.
Il est temps donc que les étasuniens l'élisent pour en finir avec le totem de la nouveauté et bien comprendre que ce ne sont ni le sexe ni la couleur de peau ni l'origine ethnique des parents d'un président qui fondent la substance de la politique d'un pays.
Le vaisseau amiral états-unis continuera à garder le cap que ses intérêts lui commandent, Kamala Harris ou pas.
