Pour mon plus grand bonheur (illusoire, purement illusoire… et ô combien superficiel) et pour le plus grand malheur de l'humanité, je suis complètement schizophrène… et donc, sans vergogne (un peu quand même… peut-être même un peu plus), je peux partager sur une plateforme numérique comme Babelio, émanation d'une société aussi criminelle qu'Amazon, tout le bien que je pense de
l'enfer numérique…
Et j'ai beau le savoir, et me dire que je devrais couper avec ce réseau social aussi, quoi qu'il soit consacré (au moins) à des échanges plus intéressants que des vidéos de chats et des selfies, je n'y parviens pas…
Et pourtant…
l'enfer numérique c'est celui de la pollution accrue, de la surveillance accrue, de la domination accrue… n'en jetez plus ! Lire cet essai devrait avoir pour première conséquence, pour tout lecteur citoyen, de rompre avec la toile dans laquelle nous sommes volontairement (sus)pendus.
L'enquête est passionnante. Et alors que j'avais déjà beaucoup aimé la guerre des métaux, j'ai trouvé encore plus forte et plus bouleversante cette enquête de
Guillaume Pitron, qui, à l'image d'une
Marie-Monique Robin, fait l'honneur de la profession bien mal représentée de journaliste.
INDISPENSABLE À LIRE !
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