Il ne faut pas toujours connaître la fin du voyage. C’est la route qui est belle.
Toutes les rencontres sont d’un même aimant.
La graine rêve qu’elle est un arbre avant de le devenir…
Mendier requiert du courage.
Elle n’a pas compris alors qu’il l’emmènerait aux sources du plaisir. Aux sources de la douleur aussi. Car la douleur est au plaisir ce que l’ombre est à la lumière.
Déjà hier n’est plus qu’un songe. Demain n’est encore qu’un mirage. Et aujourd’hui s’effacera aussi vite qu’un soupir…
Dans l’ombre du bonheur vit la douleur.
Mais au fil du temps, les enfants des dieux utilisèrent le pouvoir de leur coeur a des fins égoïstes. Ils devinrent avides. Orgueilleux. Ils oublièrent la puissance de la terre et ne crurent plus qu'en la leur. N'étaient ils pas capables désormais de reproduire la vie artificiellement? De diviser l'atome? Ils déplaçaient aisément les montagnes et façonnaient l'être humain à leur guise.
Ils créèrent bientôt des esclaves aux corps et aux âmes déformés chargés de réaliser les tâches trop ingrates à leur place. Ils faisaient gtossir les annimaux à souhait afin qu'ils fournissent plus de nourriture. Ils brûlaient les forêts primaires pour y installer meurs plantes modifiées. Leurs ambitions étaient sans limites. Et desormais, la science avait tout pouvoir. Avec elle les hommes seraient les maîtres de l'univers. Dans leur délire, ils s'imaginaient usurper le pouvoir des Dieux : celui de créer et celui de détruire. Ils oublièrent le mot "servir". Ils refusèrent de respecter la Terre qui leur avzit été donner en présent. Ils négligèrent de monter au sommets des montagnes pour humblement lui rendre hommage.
Un soir, les premières convulsions se firent sebtir. La Terre ignorée se rebellait. Et comme plus personne ne connaissait son mangage, il fut impossible d'implorer son pardon. Bientôt des vents contraires secouèrent les plaines sans relâche, attisang le fru destructeur, puis les grandes eaux engloutirent toute trace de vie et le monde ne gut plus qu'un immence chaos.
Ils n'ont pas besoin de mots, ceux qui s'aiment...
Il ne faut pas toujours connaître la fin du voyage.......c'est la route qui est belle.