Ils n'ont pas besoin de mots, ceux qui s'aiment...
Il ne faut pas toujours connaître la fin du voyage.......c'est la route qui est belle.
Les lèvres du gitan effleurent celles de la sorcière. L'âme du nomade s'unit à celle de la vagabonde. (p.24)
la douleur est au plaisir ce que l'ombre est à la lumière.
Sa fiancée du bout de la nuit. Celle qui est pour le Gitan ce que l'obstacle est à la lumière : une nécessité d'où jaillira la force. (p.51)
Le destin recèle des mystères étranges, auxquels il convient de s’abandonner quelque fois.
Toutes les rencontres sont d’un même aimant.
La graine rêve qu’elle est un arbre avant de le devenir…
Elle n’a pas compris alors qu’il l’emmènerait aux sources du plaisir. Aux sources de la douleur aussi. Car la douleur est au plaisir ce que l’ombre est à la lumière.
Déjà hier n’est plus qu’un songe. Demain n’est encore qu’un mirage. Et aujourd’hui s’effacera aussi vite qu’un soupir…