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Critique de Yvan_T
Dans ce troisième tome de la version cartonnée de "James Dieu", Fred Pontarolo poursuit sa vision caricaturale burlesque (mais maîtrisée) des Etats-Unis et de la société américaine.
L'auteur avait déjà bien souillé l'image des States en s'attaquant à Coca-Cola, à la Statue de la Liberté, à Elvis Presley et aux Experts (CSI). Ici, il en rajoute encore une couche avec les Twin To¬wers, Burger King et Pepsi. Les dialogues sont tordants et la caricature met le doigt là où il faut, à l'image de ce passage chez Burger King. Excellent !
Mais l'auteur ne se contente pas de se moquer des States en s'attaquant à ses valeurs les plus profondes, il va également continuer d'approfondir son regard cynique sur le catholicisme. Après avoir remplacé la lampe magique d'Aladin par une cannette de Coca-Cola et Aladin par Dieu en personne, sous l'apparence d'un Elvis Presley obèse, alcoolique et obsédé de sexe, et avoir mis en image un Jésus fan de marijuana, c'est maintenant le diable qui entre dans la danse de manière assez divine. Après avoir bafouillé le célèbre «In God we trust», c'est maintenant le souffle divin qui perd une grande partie de son charme. Et ... jetez un oeil sur la couverture !
Et, last but not least, il y a tous les autres personnages, qui sont vraiment excellents, qu'ils soient inventés ou des caricatures de personnages existants comme Strasky et Hutch, Michael Moore, Les Experts ou même l'Agence tout risque. de Gina La Pompe à Rocky Bazooka, en passant par un zombie à la recherche de sa coupe afro, le lecteur prend vraiment son pied et ne s'ennuie pas une seule seconde.
Excellent !
L'auteur avait déjà bien souillé l'image des States en s'attaquant à Coca-Cola, à la Statue de la Liberté, à Elvis Presley et aux Experts (CSI). Ici, il en rajoute encore une couche avec les Twin To¬wers, Burger King et Pepsi. Les dialogues sont tordants et la caricature met le doigt là où il faut, à l'image de ce passage chez Burger King. Excellent !
Mais l'auteur ne se contente pas de se moquer des States en s'attaquant à ses valeurs les plus profondes, il va également continuer d'approfondir son regard cynique sur le catholicisme. Après avoir remplacé la lampe magique d'Aladin par une cannette de Coca-Cola et Aladin par Dieu en personne, sous l'apparence d'un Elvis Presley obèse, alcoolique et obsédé de sexe, et avoir mis en image un Jésus fan de marijuana, c'est maintenant le diable qui entre dans la danse de manière assez divine. Après avoir bafouillé le célèbre «In God we trust», c'est maintenant le souffle divin qui perd une grande partie de son charme. Et ... jetez un oeil sur la couverture !
Et, last but not least, il y a tous les autres personnages, qui sont vraiment excellents, qu'ils soient inventés ou des caricatures de personnages existants comme Strasky et Hutch, Michael Moore, Les Experts ou même l'Agence tout risque. de Gina La Pompe à Rocky Bazooka, en passant par un zombie à la recherche de sa coupe afro, le lecteur prend vraiment son pied et ne s'ennuie pas une seule seconde.
Excellent !
