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Critique de Amanss
J'ai lu ce roman – le premier d'une trilogie - d'une traite. Pourtant, ce qu'il raconte n'est qu'un affrontement qui se déroule sur plusieurs journées. Cependant, cet affrontement est très bien relaté, et, dans ses interstices, révèle des personnages, femmes et hommes, à plusieurs facettes, plusieurs intrigues, ainsi qu'un monde qui n'est pas simple.
Ce monde, c'est celui de l'après catastrophe climatique, à laquelle des humains ont survécu en s'installant dans les océans. Ils ont décidé d'arrêter de se battre pour ne pas conclure leur propre anéantissement. Ils se sont organisés en territoires fédérés, et on instauré la « Pax », qui doit tous les protéger de l'individualisme et de l'ambition destructeurs. La violence est-elle pour autant éradiquée ? Non, elle se poursuit, notamment au nom de la « Pax ». Voici qu'une minuscule communauté, Providence, mettrait l'équilibre de la « Pax » en danger. Qu'à cela ne tienne, la communauté chargée de maintenir cet équilibre dans la zone Atlantique, les Atlantes, envoie un escadron de soldats d'élite la remettre au pas, définitivement. Augmentés d'une armure quasiment indestructible, ceux-ci démolissent Providence. L'un des Proventins parvient à s'échapper, et il est poursuivi par Wolf – sorte de Bruce Willis. Les Atlantes sont améliorés par l'implantation dans leur cerveau d'une IA qui les guide et agit sur leurs hormones pour y parvenir efficacement. Quant aux Proventins… L'histoire se corse peu à peu.
La manière d'écrire de Sylvie Poulain, dans ses descriptions précises de l'action, m'a rappelé « Silo » de Hugh Howey. Cette autrice a fait une carrière dans la marine. Confluence est son premier roman ; je lui tire mon chapeau, et j'attends la suite.
Ce monde, c'est celui de l'après catastrophe climatique, à laquelle des humains ont survécu en s'installant dans les océans. Ils ont décidé d'arrêter de se battre pour ne pas conclure leur propre anéantissement. Ils se sont organisés en territoires fédérés, et on instauré la « Pax », qui doit tous les protéger de l'individualisme et de l'ambition destructeurs. La violence est-elle pour autant éradiquée ? Non, elle se poursuit, notamment au nom de la « Pax ». Voici qu'une minuscule communauté, Providence, mettrait l'équilibre de la « Pax » en danger. Qu'à cela ne tienne, la communauté chargée de maintenir cet équilibre dans la zone Atlantique, les Atlantes, envoie un escadron de soldats d'élite la remettre au pas, définitivement. Augmentés d'une armure quasiment indestructible, ceux-ci démolissent Providence. L'un des Proventins parvient à s'échapper, et il est poursuivi par Wolf – sorte de Bruce Willis. Les Atlantes sont améliorés par l'implantation dans leur cerveau d'une IA qui les guide et agit sur leurs hormones pour y parvenir efficacement. Quant aux Proventins… L'histoire se corse peu à peu.
La manière d'écrire de Sylvie Poulain, dans ses descriptions précises de l'action, m'a rappelé « Silo » de Hugh Howey. Cette autrice a fait une carrière dans la marine. Confluence est son premier roman ; je lui tire mon chapeau, et j'attends la suite.
